Au musée Lambinet

Antonio de la Gandara, surnommé le gentilhomme peintre de la Belle Epoque, aimait beaucoup Versailles.

Ce peintre a réalisé plus de 200 oeuvres. Il est mort en 1917.

Le musée Lambinet lui a rendu hommage.

 

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Avec les pastels, Antonio de la Gandara fait penser que les personnages ressortent de  la toile.

Il superpose des couches de couleurs et avec ses craies, on a l’impression que les personnages qu’il dessine sont vivants. Mais avec le temps, ça se dégrade.

Le peintre réalise des pastels pour se détendre.

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Antonio de la Gandara peignait des statues et des paysages, pour se reposer des portraits de personnes, longs et fatigants.

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Il a représenté la rue Royale et la place de la Concorde, le jardin du Luxembourg, le parc du château de Versailles.

Dans le tableau Rue Royal, on voit bien le mouvements des personnes : un crieur de journaux en retard, des élégantes en promenade, une des premières automobiles de l’époque.

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Il a peint des ponts de Paris.

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Cette dame s'appelle Anna de Noailles, elle était écrivain.

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Don Quichotte s'imagine être chevalier, il monte un âne, est accompagné de Sancho Panza qui est alcoolique.

Ce personnage de roman tient un bâton en guise de lance. Il combattait des moulins en croyant que c'était des géants et il voulait sauver des paysannes, les prenant pour des princesses.

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autoportrait

Le peintre est mort à 56 ans, en train de peindre.

La canne lui servait d'appui pour ne pas toucher la toile.

Il écrivait et recevait de nombreuses lettres, certaines sont dans les vitrines.