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De battre mon coeur s'est arrêté, par Daphné

Personnellement je n’ai pas beaucoup aimé ce film. Tout d’abord, quand le film commence, on ne comprend rien pendant les 10 premières minutes, on ne sait pas qui est le personnage principal ,qui sont les gens autour de lui, leur nom, etc… N’aimant pas particulièrement les histoires basées sur l’évolution d’un personnage qui va de l’ombre vers la lumière, le cas du héros ne m’a pas vraiment intéressée. De plus, dans ce film, on a une envie, c’est de voir la fin. Or, pour moi, un bon film est un film où l’on veut juste savoir la suite. Mais en plus, de ça, la fin m’a complètement laissée perplexe. C’était comme si la fin n’en était pas vraiment une. Je pensais que le film finirait quand le héros réussirait son audition. Non seulement il ne la réussit pas, mais en plus, le film se termine sur un concert du professeur de piano du héros. Ce qui n’apportait rien au film selon moi. Pour finir, les jeux d’ombres et de lumières ne m’ont pas du tout interpellée. Je ne pouvais donc pas comprendre le message que le film voulait passer. Voilà pourquoi je ne peux pas considérer ce film comme un bon film.

De battre mon coeur a recommencé, par Enora

De battre mon cœur a recommencé

Entre l’ombre et la lumière, je virevolte comme un frivole papillon. Je ne sais que choisir. Mon père, tel une ombre grandissante, a toujours eu une emprise sur ma misérable vie. Ma mère, telle une extraordinaire lumière me guidant sur le chemin de la rédemption, vient juste de m’apparaitre. Face à ce piano, je revois le spectre grandissant de ma vie. Il cherche à m’emprisonner ; m’engloutissant sous la violence et la pression. J’effleure les touches blanches du clavier, puis les noires. Je joue alors, cherchant mon éblouissante vocation emmurée depuis longtemps dans mon cœur de pierre. Je joue, joue à en perdre haleine. Au moment où, devant moi, s’élève la lumière, le spectre me ramène à la dure réalité, me mordant et me griffant la conscience, en m’arrachant un cri de douleur qui résonne jusque dans mon cœur. Mais je refuse de m’avouer vaincu et je rejoue, comprenant qu’il n’y a plus de chemin inverse. Et à ce moment là, de battre mon cœur a recommencé. Je vais me battre, me battre contre cette noirceur jusqu’à mon dernier souffle.

Voilà pourquoi je vis.

Voilà ma vie.

De battre mon coeur s'est arrêté, par Enzo

Le film De battre mon cœur s'est arrêté m’a un peu déçu, car ayant regardé la veille le film Un Prophète du même réalisateur (Jacques Audiard), je m’attendais à mieux du film de 2005 car j’avais adoré celui de 2009. Même si j’admets que la manière de jouer des acteurs est parfaite et que les procédés techniques tels que le jeu d’ombres et de lumières sont très bien appliqués, j’ai trouvé que l’histoire n’était pas très intéressante par rapport à celle d’Un Prophète. Dans les deux films, il y a l’évolution du personnage principal, mais j’ai trouvé que celle de De battre mon cœur s'est arrêté n’était pas toujours flagrante, et certaines scènes m’ont même fait me demander si le personnage interprété par Romain Duris avait réellement évolué, alors que l’évolution du personnage joué par Tahar Rahim dans Un Prophète est très pertinente. De plus, j’ai trouvé que l’ellipse où l’on saute deux ans de l’histoire n’était pas nécessaire, à cause de cela, je ne suis même pas sûr d’avoir compris la situation du personnage principal à la fin du film.

De battre mon coeur s'est arrêté, par Clémentine

   Le film De battre mon cœur s’est arrêté de Jacques Audiard est un très bon film. En effet, le réalisateur a tourné comme pour un film noir avec l'ombre et la lumière comme dans les années cinquante montrant ainsi l'évolution du personnage de Thomas au fil du temps.

   Au début du film, Thomas suit plutôt l’héritage de son père en travaillant dans l’immobilier puis au fur et à mesure du film, celui-ci va se rapprocher de l’héritage de sa mère en passant une audition de piano.

   Le réalisateur joue sur ses deux héritages notamment en mettant dans l’ombre le travail du père parce que ce qu’il fait n’est pas bien alors que Jacques Audiard met en avant et à la lumière, la chose bien qui est le piano comme par exemple quand Thomas joue du piano, il a de l’espace alors que quand il travaille, il est oppressé.

   De plus, les actions immobilières se passent toujours la nuit, du coup on ne voit pas très bien ce qu’ils font ce qui est dommage.

   Ce film est bien malgré quelques points négatifs comme la caméra qui est toujours tournée pareil ce qui fait que l’on croit que c’est toujours la même action.

Clémentine