Critique de "Princesse Bari" par Korantin Baudard, 2ELEEC




Princesse Bari est une bande dessinée écrite par Gyu, Wang Peng, édité par Delcourt.


résumé:

Ce récit nous parle d'un roi qui voulait en savoir plus sur son avenir et celui de son royaume. Il fit appel à un devin, celui-ci le mit en garde de ses futurs enfants. Ce ne seront que des filles et la septième sera celle qui causera sa perte et celle de son royaume.
Le roi écoutant les prédictions du devin, abandonna le septième enfant mais en vain. Il décida de la laisser dans une rivière et on entendit plus jamais parler d'elle.

Quinze années plus tard, le roi eut une maladie qui ne pouvait être soignée que par l'eau d'une source miraculeuse. La fille abandonnée du roi, Bari, apprit qu'il avait une maladie très grave alors elle décida d'aller chercher cette eau malgré qu'il l'ait abandonnée.

avis :
Le seul point négatif que je trouve est que le récit est très court.
Pour les points positifs que je trouve sont déjà, l'histoire est très prenante, on peut s'imaginer être à la place de Bari en voulant aider son père qui meurt d'un mal qui le ronge. Sinon les dessins sont très agréables, de belles couleurs, très ravissantes.

Le lecteur s'aperçoit rapidement que la recherche de cette source miraculeuse n'est qu'un prétexte, et que le conte parle en fait d'un sentiment universel : le besoin d'être aimé. Bari a vécu toute sa vie sans avoir eu d'amies, elle n'avait que son grand père. Bari, recherche désespérément quelqu'un pour l'aimer, et pense pouvoir "acheter" l'amour de son père en lui sauvant la vie. C'est cette quête désespérée de reconnaissance, au péril même de sa vie, qui va la pousser à commettre des actes répréhensibles ou même dangereux.