A Saint-Cyr, Gertrude et Anne sont de très très bonnes amies. Elles se font passer de petits messages amicaux.

Mais à Saint-Cyr (école religieuse pour devenir une colombe du Roi Soleil) l'amitié entre deux personnes est comme un pêché. Gertrude et Anne cachent leurs messages sous leurs matelas. Mais un jour, Mme de Crecy les surprend en train d'échanger un petit billet. Mme de Crecy demande à Gertrude (qui a donné un message à Anne) d'ouvrir sa main. Gertrude l'ouvre car elle sait qu'elle a déjà donné le message à Anne. Mais Mme de Crécy qui n'est pas idiote demande à Anne d'ouvrir sa main, mais Anne avait mit le message dans sa bouche (nous nous passerons des détails pour ne pas dégoûter les lecteurs ) donc personne ne se fit prendre.

Mme de Crécy donna l'ordre que l'on aille fouiller sous les matelas d'Anne et de Gertrude. A ces mots, Anne pâlit. Gertrude comprit aussitôt que Anne n'avait pas, comme elle, détruit les petits billets. Après cet incident, Gertrude se mit à haïr Mme de Crécy. En hiver, comme il y avait beaucoup de maladies, Gertrude, Isabeau et d'autres filles de l'école se proposèrent pour aider à soigner les malades. Gertrude appris que certaines plantes pouvaient tuer ou empoisonner quelqu'un. Gertrude en prit quelques unes qu'elle mit dans sa poche.

Il se trouva que Mme de Crécy tomba malade et qu'on l'emmena à l'infirmerie. Gertrude et Isabeau durent préparer l'antidote contre sa maladie. Gertrude mit ses fameuses plantes dans la potion de Mme de Crécy. Et ce qui devait arriver arriva : Mme de Crécy fut empoisonnée. Dans la cour, Mme de Maintenon (créatrice de l'école) interrogea les élèves, Isabeau pâlit. Mme de Maintenon crut que c'était elle la coupable de l'empoisonnement de Mme de Crécy. Elle la fit enfermer. Mais Gertrude se dénonça et fut renvoyée. Dans sa prison, elle apprit qu'elle pouvait avoir une chance d'être envoyée au Québec, le Nouveau Monde de l'époque.

Le lecteur devra découvrir la suite en lisant le livre qui ne se trouve pas (encore) au CDI.

Résumé d'Emilie Gautard et d'Ivane Payen