Ses toiles sont empreintes de culture mexicaine : tenue traditionnelle, bijoux locaux, portraits d'indigènes. Huile sur toile peinte en 1940 par Frida Kahlo, autoportrait où Frida Kahlo rêve couchée dans un vieux lit à baldaquin pendu au milieu des nuages.  Le squelette allongé sur le toit du lit, était la copie d'un mannequin en papier mâche qu'elle avait fabriqué pour la semaine sainte.


La mort était assez souvent présente dans ses œuvres, en référence à sa culture. Ce squelette qui tient dans les mains un bouquet de fleurs symbolise probablement son propre décès à moins qu'il ne s'agisse de celui de Léon Trotski, assassiné en 1940, et qui avait été son amant.

La vigne qui pousse sur les draps jaunes de son lit et encercle sa tête rappelle celle qui ornait la jupe d'un costume sophistiqué qu'elle avait fabriqué. Pleines de vie, ses vrilles sont le contrepoint des fils électriques reliés à des explosifs qui grandissent sur le squelette.
Signification métaphorique d'un jeu entre la vie et la mort, l'ironie étant évidemment ne put jamais donner la vie. Tous les événements importants ont, le plus souvent, lieu dans un lit : la conception, la naissance et la mort.
On note aussi une coupure entre la réalité et le rêve on voit sur le dessus le monde du rêve et au-dessous la réalité cependant la scène reste omniprésente dans le rêve avec un lit en apesanteur et dans le ciel, qui peut nous faire penser à un autre monde. Mais dans un sens on ne sait pas qu’elle scène est réelle et on peut se demandé si le peintre n’a pas joué avec un effet miroir à savoir si le rêve est réalité et la vie le rêve.