J'ai pris l'avion pour partir à Bordeaux. Arrivé là-bas, j'ai commencé par prendre mes médicaments.

Le coup d'envoi, c'est au début, mais le match était  commencé depuis trois minutes. Je n'ai même pas eu le temps de me changer pour aller sur le terrain.

On s'est assis avec Marie-Carole dans la tribune, là où il y avait tous les personnes importantes. On nous a proposé à manger. Il y avait plein de choses, mais ça ne ressemblait pas à un repas. Je n'ai rien mangé, Marie-Carole elle, oui, et puis pour moi, en fait, on a acheté un grec plus tard.

La première mi-temps se termine. J'avais peur de rentrer sur le terrain. Les spectateurs de la tribune se sont mis à crier pour me donner du courage. Marie-Carole m'a attrapé une main, d'autres personnes sont venues pour nous montrer le chemin pour aller sur la pelouse.

Les 32 000 spectateurs applaudissaient. Un monsieur m'a présenté : Amara, de l'hôpital d'Enfants Margency, on me filmait et on me prenait en photos.  Les joueurs sont sortis  du vestiaire, je les regardais venir sur le grand écran.

Ensuite, je suis retourné dans les tribunes et j'ai regardé la fin du match. Le PSG a marqué, je n'ai même pas vu le but.

Le PSG a gagné 1-0.

A la fin du match, on m'a donné un ballon, une montre, un vêtement de pluie ? Et on me donnera le ballon du match plus tard.

On est rentré à l'hôtel, on a dormi.  Le lendemain matin, après un super petit déjeuner (on peut prendre tout ce qu'on veut) Marie-Carole et moi, on est sorti. Il faisait très chaud. On a joué au foot et on a pris des photos.

A 13h30, on est allé à l'aéroport. On est monté dans l'avion et on a décollé. J’avais mal à la tête. Après, on a regardé les paysages et puis on est arrivé à Paris. On est descendu doucement, l'avion a touché le sol, et s'est arrêté. M Muller m'a présenté au pilote qui m'a expliqué le fonctionnement des manettes et du volant.

 

J'étais content mais fatigué. Pourtant, je serais bien resté là-bas ! C'était vraiment bien ! Amara