Sentiment
11 12 2012PROPOSE PAR AWA
Ecris un texte qui décrit quelqu'un ayant peur. Utilise obligatoirement les mots : frissons - chair de poule - claquer - tortiller. Les verbes peuvent être conjugués et les noms "adaptés".
Ecris un texte qui décrit quelqu'un ayant peur. Utilise obligatoirement les mots : frissons - chair de poule - claquer - tortiller. Les verbes peuvent être conjugués et les noms "adaptés".
Elles étaient cachées sous le lit de la chambre d'amis, elles frissonnaient de tout leurs corps, elles claquaient des dents sans savoir que la bête se tortillait juste au dessus d'elles.
Mais le monstre savait où elles étaient, il avait senti leur peur et savait que leurs chairs de poules les mèneraient à s’évanouir.
J’étais dans ma chambre en train d’écouter de la musique quand soudain j’entendis un bruit dans le grenier. Je montais voir ce qui se passait.
Une fois arrivée en haut, j’avais des frissons en rentrant dans le grenier et d’une voix tremblante, je dis «Il y a quelqu’un ?» et là, BOUM ! la porte claqua.
Je restais enfermée dans le grenier, j’avais la chair de poule, j’étais dans le noir, je ne savais pas quoi faire alors j’hurlais « AU SECOURS» mais personne n’était dans la maison. Alors, je cherchais dans ma poche et je trouvais un briquet. Je l’allumais pour aller chercher une bougie. Là, je me retournais et je vis une chose bizarre qui se tortillait. Je me mis alors à hurler et soudainune main derrière moi me toucha l’épaule... Alors je m’évanouis et.... quand je rouvris les yeux, j'étais sur mon canapé et je m'aperçus que ce n’était qu’un cauchemar.
Il entendit les portes du sous-sol claquer, de grands courants d’airs lui hérissaient les cheveux, il était maintenant incapable de faire un seul pas. Il se tenait là, immobile, se murmurant encore et encore d’une voix tremblante : « Qu’est-ce-que je dois faire … Qu’est-ce-que je dois faire …? »
Il ne pouvait pas rester là sans bouger et malgré la peur qui le tenaillait, il se décida à aller voir ce qui se passait. Il n’arrivait pas à y croire, lui qui n’avait pourtant peur de rien, celui que tout le monde appelait « le Dure », il en venait à avoir la chair de poule. Comment était-ce possible ? C’était pourtant lui le seul à ne pas y croire. Celui qui répétait en boucle que ce n’était que de simples rumeurs, que cela n’avait jamais existé et qu’il fallait être complètement stupide pour croire à ce genre d’histoire.
Ses pas grinçaient sur le parquet. Plus il avançait, plus les lumières devenaient sombres. Les portes se mirent soudainement à claquer de plus belles, il en avait des frissons. Il s’arrêta d’un coup et sentit son cœur s’arrêter brutalement lorsqu’il s’aperçut que face au mur se trouvait une autre ombre que la sienne qui se tortillait derrière lui.
Une femme rentrait chez elle tranquillement. Elle passa la porte d’entrée quand soudain, elle vit que quelque chose n’allait pas. Du sang coulait sur les murs mais pas de corps. Quand elle ouvrit la porte de son placard, elle entendit un bruit au grenier. La femme claqua la porte du placard. Elle était dans tous ses états : chairs de poules, frissons…Elle monta les escaliers doucement avec un couteau dans la main. Elle ouvrit la porte du grenier tout doucement et vit une silhouette toute rouge. Elle courut vers la silhouette et l’attrapa. Le corps se tortillait pour se libérer. Et quand la femme retourna ce corps, elle reconnut son fils avec un seau de peinture rouge. Elle le serra fortement et lui dit :« Tu m’as fait peur ! Ne refais plus jamais ça. »