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Jacques Lusseyran est un jeune garçon qui perd la vue à huit ans. Il est éduqué par sa mère puis retourne à l’école. Il découvre alors une lumière, des couleurs, des visages et paysages intérieurs qu’il croyait avoir perdus pour toujours. Il se passionne pour l’art, l’art visuel en particulier. Étant aveugle, il ne peut donc rien faire sur le terrain, il va donc être le chef des résistants les « Volontaires de la Liberté », il est dénoncé par une « taupe » et est emprisonné puis déporté au camps de Buchenwald où sa lumière intérieure va s’éteindre puis se rallumer. Quelques temps après la libération, il se marie avec Jacqueline Pardon une ancienne amie résistante, ils ont trois enfants ensemble, mais il la quitte pour Jacquelines Hospitel, part en Amérique avec elle et leur unique enfant. Là-bas, il réalise son rêve et est professeur à l’Université. Il publie des livres et a une relation avec une de ses étudiantes. Il laisse alors sa deuxième femme, pour Toni Berger, sa maîtresse, et ils partent tous deux en Grèce, où Toni décide de changer d’identité pour s’appeler Marie Lusseyran. Ils vont à Aix-En-Provence, où il retrouve une des filles qu’il a eues avec sa première épouse, Claire. En 1971, Jacques et sa femme, Marie, meurent dans un accident de voiture.
 
 
Certes le livre est intéressant car on découvre la vie tumultueuse de Jacques Lusseyran, mais je n’ai aimé que la première moitié du livre car j’arrivais à me mettre à sa place, du moins, à le comprendre ; alors que dans la deuxième partie du livre, je n’arrive pas à me mettre à sa place car c’est un homme infidèle et sombre, qui ne se préoccupe que de lui et ne s’intéresse pas le moins du monde à ses enfants ; à partir de ce moment je n’aimais plus ce personnage qui était au début attrayant et qui est devenu sinistre ; et c’est dommage car c’est important d’apprécier un minimum le personnage principal.
 
Clotilde