Blog de Serge Archimbaud, Lycée Marguerite Yourcenar (91) - Mot-clé - Jeux de mots - CommentairesLe blog des élèves de Serge Archimbaud a pour objectif de stimuler la motivation des élèves, de multiplier leurs travaux d'écriture et de proposer des cours de français consultables sur la toile.2024-03-05T11:20:14+01:00Académie de Versaillesurn:md5:7e0871b80f99818accacd96574c6d34aDotclearCONCOURS DES DIX MOTS ! - Fares Bannour 2nd Curn:md5:a2a612281a797b0f3bcf3b44e6b23da32016-05-22T16:31:51+02:002016-05-22T20:23:35+02:00Fares Bannour 2nd C<p>Cette histoire se déroule durant un hiver vigoureux (vigousse).</p>
<p>Un jour, j’étais dehors quand soudain les premières gouttes de pluie commençèrent à tomber puis rapidement l’averse se transforma en déluge (dracha).</p>
<p>De fins flocons de neige commençaient à tomber du ciel (poudredries).</p>
<p>Je m’étais abrité sous un abri de bus face à la route et je voyais un petit commerce (dépanneur) avec des entrées et sorties abondantes de personnes .</p>
<p>Soudain, le fou du village (fada) passa en tenant des propos incompréhensibles .</p>
<p>Une personne visiblement mal intentionnée interpella le fou du village.</p>
<p>Toutes les personnes importantes se retrouvaient là-bas pour discuter de l’actualité de la ville (champagnés).</p>
<p>La nuit commençait à tomber, toutes ces personnes étaient alcoolisées et devaient rentrer dans une camionnette de fortune (tap-tap).</p>
<p>Les rues étaient sombres, on apercevait des petites sources de lumière au loin (lumerottes).</p>
<p>Un homme m’a proposé une tasse avec quelques gouttes de café pour me réchauffer (ristrette).</p>CONCOURS DES DIX MOTS ! - Andriantsoa Rachel 2nd Curn:md5:1b646cfba7139b952109eefa63eec48e2016-04-30T12:42:05+02:002016-05-01T10:09:18+02:00Andriantsoa Rachel 2nd C<p>C’était un banal soir de décembre. J’étais rentrée du travail à mon heure habituel, et, affamée, j’avais décidé de me préparer un plat rapide et facile à faire, des pâtes. Mon ventre criant famine, je me suis précipitée dans la cuisine pour commencer à chauffer l’eau et à sortir mon paquet de pâtes. C’est à ce moment précis que le drame a commencé. Mon paquet de pâtes était introuvable. J’avais beau chercher dans les endroits les plus improbables de la maison, je ne le trouvais pas. Il fallait donc que je me rende à l’évidence et que j’accepte le fait d’avoir oublié d’en acheter.<br />
Il était 23h et le seul petit commerce (dépanneur) qui était encore ouvert à cette heure-ci était à l’autre bout de la ville. Comme je n’avais pas fait les courses comme ma mère me l’avait demandé et que je n’avais rien d’autre à manger, j’étais contrainte de sortir pour aller en acheter. Et qui dit sortir prendre les transports le soir, dit bus nocturnes (tap-tap). Ce sont des genres de boîtes de conserve roulantes, remplies de personnes bizarres dont la carrosserie n’est pas encore au point… De toute façon, j’étais obligée, je ne pouvais pas y aller à pied car il commençait à pleuvoir très fort (dracher) dehors… Je pense que c’était sûrement un signe pour me dire que j’avais la poisse !<br />
Arrivée à l’arrêt de ce fameux bus, il n’y avait pas grand monde (en même temps, à 23h c’est normal). Seulement deux hommes, un assez jeune et l’autre plus vieux mais qui avait l’air d’être encore vigoureux et plein de vie (vigousse). D’après leur tenue, ils avaient l’air d’être des hommes plutôt importants ayant de nombreuses relations (champagné). Mais bon, évidemment, comparé à moi vêtue de mon pyjama et de mes vieilles baskets à cause de mon manque de temps, tout le monde était bien habillé.<br />
Après avoir analysé les deux hommes, je vis au loin deux petites lumières assez faible (lumerotte) qui devaient être les phares de mon bus. Le conducteur avait l’air assez tête en l’air et fou (fada). Je me suis donc d’abord demandé si je devais monter dans un bus qui avait comme conducteur un homme ayant sûrement consommé quelque chose de pas très net, mais je me suis ensuite souvenue que je n’avais pas le choix, alors je suis montée.<br />
Arrivée saine et sauve devant le petit commerce, je me suis vite pressée d’entrer et d’acheter ce que j’avais à faire pour en finir avec ça. Je me suis avancée vers la caisse, contente, jusqu’à ce que mon regard aille en direction de la fenêtre. Il y avait de la neige poussée par un vent qui était plus fort que tout à l’heure. Ma « bonne humeur » s’était décomposée en un rien de temps. Le caissier, avec sa mine sournoise et rusée (chafouin) m’a proposé un petit café bien fort (ristrette) avant que je parte, sachant qu’il allait me faire payer ce café en plus de mes pâtes. Contre toute attente, j’ai accepté, en me disant que je n’avais rien à perdre, à part mon argent.<br />
Au final, j’ai pris un bus nocturne dont le conducteur ne m’inspirait pas confiance et je me suis fait arnaquer par le caissier et la météo mais j’ai quand même réussi à acheter mon paquet de pâte.<br />
La morale : toujours écouter sa mère, si vous ne voulez pas subir une soirée affligeante.</p>CONCOURS DES DIX MOTS ! - Rayan Daou 2Aurn:md5:6dbcba01fa788b3075a8f43c98bcfe6f2016-03-31T00:10:16+02:002016-03-31T10:53:41+02:00Rayan Daou 2A<p>L'hiver était vigoureux et particulièrement tenace cette année-là, les jours se fondaient dans la nuit et une atmosphère morose proliférait dans Paris. Je me souviens, une nuit d'insomnie, être sortie me balader. Le silence glacial se répandait sur les pavés de la ville tendis que j'essayais de trouver un petit commerce (dépanneur) pour glaner un paquet de cigarettes et un petit café chaud corsé (ristrette) ; ayant trouvé mon bonheur, je remontais vers la place quand une pluie intense (dracher) s’abattit sur moi. Je courus m'abriter sous un porche à la lumière faible et vacillante ( lumerotte).<br />
Les minutes passaient longuement sous cette averse hivernale, quand soudain, un camion orné de motifs primitifs (tap-tap) surgit sur la place, et je vis un homme à la mine sournoise (chafouin), au regard de fou ( fada) descendre promptement du camion ; à sa démarche il paraissait vigoureux, endurcit ( vigousse) par une vie de malfrat.Je me figeais pour ne pas me faire voir par lui. C’était sûrement un homme influent (champagné) et dangereux. Quand l'averse fut finie je m’empressai de rentrer chez moi. Dans la semaine qui suivit je découvris grâce aux journaux que l'homme que j'avais aperçu cette nuit-là était un célèbre tueur en série.</p>CONCOURS DES DIX MOTS ! - Anthony Doré 2Aurn:md5:13dc62cd4edd6d270e8430ce55e26e532016-03-14T19:38:35+01:002016-03-16T17:10:21+01:00Anthony Doré 2A<p>L'incroyable histoire de Siroun.</p>
<p>Lundi matin, Siroun ne travaillait pas, elle en a donc profité pour aller chercher quelques gourmandise à sa boulangerie favorite à une dizaine de minutes de chez elle. Alors qu'elle n'était plus qu'à quelques pas de la boulangerie, un jeune homme qui sortait d'un petit commerce où l'on vend des aliments et une gamme d'articles de consommation courante à n’importe quelle heure (dépanneur), traita Siroun de cinglé (fada) sans aucune raison particulière. Cet homme semblait avoir une mine sournoise (chafouine). Siroun lui demanda donc pourquoi il lui avait parlé ainsi, l'homme lui répondit que hier, alors qu' il tombait une pluie battante (drachait) alorq qu'aucune source de lumière, même de faible intensité (lumerotte) n’était visible, Siroun était passée à deux doigts de renverser l'homme sans s'en rendre conte. L'homme semblait très énervé et commença à attirer l’intention des personnes marchand dans la rue, le ton montait de plus en plus entre Siroun et l'homme. Siroun a donc fini par lui expliquer que ce jour-là, elle avait emprunté une camionnette servant de transport en commun dont la carrosserie était ornée de peintures naïves (tap-tap) appartenant à son cousin. Sachant qu'il faisait très sombre et que Siroun n'était pas habituée à conduire ce genre de véhicule, il est possible qu'elle ait frôlé cet accident sans s'en rendre conte. Elle se justifia donc de cette façon puis s'excusa tant bien que mal. Siroun était très vigoureuse (vigousse) car c'est comme cela qu'elle a réussi à sortir cette histoire totalement fausse puisqu'elle ne sait simplement pas bien coduire. Elle est tellement vigoureuse qu'elle pourrait être confrontée à de la neige poussée par du vent (poudrerie) seule dans un endroit desert sans eau ni nourriture, elle survivrait tout de même. Pour se remettre de tout cela, Siroun est allée boire un petit café très fort (ristrette) puis et rentrée chez elle, elle qui était une personne d’influence, aux nombreuses relations (champagnée).</p>CONCOURS DES DIX MOTS ! - Yllies Meridi 2curn:md5:a2bbd07d6373865804f91a630d8c8b1d2016-03-14T17:59:23+01:002016-03-16T08:15:08+01:00Yllies Meridi 2c<p>Aujourd'hui ou bien hier je ne sais pas, maman est morte, cela peut- être fou (fada) de ne pas savoir quand est morte sa propre mère mais bon.<br />
Je suis un homme qui pense que la vie n'a pas grand intérêt. La vie qu'est-ce que c'est ? C'est tout simplement l’ennui, de la solitude et de longues heures à regarder la pluie battante (dracher), pour finir sous terre. Ce passage sur terre est-il utile ?<br />
Personne n'a la réponse. Pour chaque être humain le but d'une vie est d'être une personne d’influence aux nombreuses relations (champagné). Tout le monde veut être riche personne ne veut être à la place du petit commerce aux heures d’ouverture étendues, où l’on vend des aliments et une gamme d’articles de consommation courante (dépanneur) du coin de la rue. D'ailleurs en parlant de dépanneur, l’autre jour en descendant les escaliers pour passer acheter du pain sans source de lumière de faible intensité (lumerotte), ce qui n'est point à faire la nuit, comme cela pour être très prévisible je suis tombé du première étage jusqu'au rez-de-chaussée. Arrivé en bas, une dame ouvrit sa porte. Elle était si belle en nuisette donc en tant qu’homme je la trouvais attirante. Elle me demanda avec une voix douce si je voulais passer la nuit chez-elle. Enfin c'est ce que j'ai cru entendre mais non malheureusement c'était mon imagination qui me joua des tours en realité elle m'avait juste demandé si j’allais bien avec une voix d'homme. En regardant de plus près c'est vrai qu'on pouvait apercevoir un bout de barbe et des jambes anormalement poilue pour une femme. Elle ou il me proposa un petit café très fort (ristrette), en voyant la neige tombée et poussée par le vent (poudrerie), en pensant à la durée du trajet pour aller jusqu'au dépanneur, c'était responsable d'accepter, en plus la camionnette servant de transport en commun dont la carrosserie s’orne de peinture naïve (tap-tap) venait juste de passer donc c'est oui, j'irai boire un ristrette chez cette dame.<br />
Le café but, il fallait que je trouve une ruse pour sortir des jupons de monsieur ou de madame. Ma mine sournoise (chafouine) pouvait s'apercevoir à des millions de kilomètres mais il ou elle ne la remarquait pas.<br />
Un animal pas très vigoureux (vigousse) passant devant la fenêtre, et la je lui fais donc croire que c'est mon animal et il ou elle toujours me répondit que c'était le sien. Mon plan coule peu à peu, je lui dis donc que je devais aller acheter du pain, cet énergumène mi-homme mi-femme se leva, alla dans la cuisine. De retour de la cuisine je le vis avec du pain il me dit : tenez, prenez-le j'en ai acheté de trop. Je suis donc remonté trois heures après. La morale que je tirerai de cette aventure est de ne plus jamais sortir de la maison sans lumerotte et de ne plus aller chez le dépanneur. A part cela ma vie reste calme et pénible tous les jours même le dimanche.</p>CONCOURS DES DIX MOTS ! - Kenza Hadjiat 2Curn:md5:3dad4a8cf7d2bb9c35be8aa432fda5cb2016-03-11T18:13:50+01:002016-03-12T21:46:35+01:00Kenza Hadjiat 2C<p>En sortant du travail, Lola décida d’aller prendre un café de forte intensité (ristrette) afin de se changer les idées et de ne pas penser qu’elle serait seule ce soir en rentrant chez elle. Elle passa des heures à regarder la neige se faire pousser par le vent (poudrerie). Elle songea d’abord à l’homme dont elle était amoureuse, Jean, il tenait un petit commerce au bout de la rue (dépanneur) et travaillait comme avocat, c’était un homme vigoureux aux nombreuses influences (Champagné, vigousse) celui-ci était assis juste derrière elle, il était en train de bouquiner à l’aide d’une lumière de faible intensité (lumerotte). Elle aurait tellement voulut lui parler mais elle avait tellement peur de l’ennuyer, mais qui sait peut-être l’aimait-il ? Elle pensa à lui toute la soirée. Il était 21h00 lorsqu’elle décida de rentrer chez elle. Elle alla donc payer l’addition et en sortant du restaurant elle vit une camionnette aux peintures naïves (tap-tap) s’arrêter devant le restaurant. Son regard s’arrêta sur un homme à la mine sournoise (chafouine) et qui semblait faible d’esprit, un peu fou (fada). Elle le suivit du regard et s’aperçut qu’il allait en direction de Jean, celui-ci l’embrassa et s’assit à côté de lui. Lola tomba de haut, et pour couronner sa soirée il se mit à pleuvoir à verse (dracha) elle décida donc de rentrer seule sous la pluie...</p>CONCOURS DES DIX MOTS ! - Bilal Moussa 2Aurn:md5:11d4f92c47baf2185432babb2d27543a2016-03-11T01:07:46+01:002016-03-12T21:43:59+01:00Bilal Moussa 2A<p>Un vendredi soir, trois individus s' étaient réunies dans un restaurant afin de mettre leur plan à exécution. Parmi eux, il y avait Alexis le chef de la bande, il était vigoureux, vif et plein de vie ( vigousse ). On dit qu ' il était capable de trancher une pomme au couteau, situé à 100 mètres. Amélie était l ' un des piliers de la bande, sans elle l' opération ne pouvait aboutir. Les rumeurs racontaient qu' elle avait ouvert son premier coffre fort dès sa première dent de lait. Et enfin, le troisième s' appelait Louka, c' était le gros bras de l'équipe. Il est un peu fou et simple d' esprit (fada). Mais aussi il ne connaissait pas le second degré.<br />
« Alexis, quand débutons-nous l' opération ? Demanda Amélie.<br />
-Demain, à l' aube, à coté du petit commerce aux heures d' ouverture étendues, où l' on vend des aliments et une gamme d' articles de la consommation courante (dépanneur). Répondit Alexis. »<br />
Alexis rapprocha la source de lumière de faible intensité (lumerotte).<br />
« Comment allons-nous nous déplacer en pleine ville ? dit Amélie.<br />
-Nous nous déplacerons en camionnette servant de transport en commun dont la carrosserie est ornée de peintures naïves (tap-tap).<br />
-Bon, trêve de bavardage, Louka veut cogner ! s' exclama Louka.<br />
-Calme-toi, je te laisserai défoncer une porte puis cinq gardes, même si tout ce que je dis te passe au-dessus de ta tête, promit Alexis.<br />
-Non, tu te trompes rien ne me passe au-dessus de ma tête, mes réflexes sont très affûtés, rectifia Louka.<br />
-Je suppose que l' opération ne se feras pas en plein soleil, demanda Amélie.<br />
-En effet, j' ai choisi demain à l'aube car la météo a prévu qu' il tombera de la pluie battante (crachera), répondit Alexis.<br />
-La victime a une mine sournoise, rusée (chafouine) ça ne sera pas simple, dit Amélie.<br />
-C' est pour ça que je vous ai choisis, c' est une personne d' influence aux nombreuses relations (champagnée) voilà pourquoi le pays sera renversé si on parvient à le faire tomber, répliqua Alexis.<br />
-Je ne pense pas que la faire tomber par terre retournera la terre du pays, souligna Louka.<br />
-Ok, tout est dit je vais prendre mon petit café très fort, fait à la vapeur au percolateur (ristrette) avant que la neige déja au sol se soulève sous l' effet du vent (poudrerie), dit Amélie. »<br />
Les trois individus se quittèrent. Puis, le lendemain à midi, une terrible catastrophe fut découverte, les sujets du BAC avaient été volés. Ils étaient pourtant dans un coffre au milieu d' une chambre surveillé par cinq gardes. Madame la ministre de l' Éducation fut renvoyée et les élèves de Première 2015/2016 eurent leur bac sans même le passer.</p>CONCOURS DES DIX MOTS ! - Théo Agathe 2Curn:md5:31872ef4c716bd00689504e08592a9172016-03-09T21:52:41+01:002016-03-10T01:02:13+01:00Théo Agathe 2C<p>Il était neuf heures du matin, Charles marchait dans les rues de Genève, il y avait de la neige poussée par le vent qui tombait sur lui (Poudrerie). Il rencontra Fabrice, c'était une personne un peu folle et très simple d'esprit (Fada). Fabrice indiqua à Charles où se situait le petit magasin où l'on vend des produits du quotidien (Dépanneur). Charles remercia Fabrice et continua son chemin vers ce magasin. Il ne neigeait plus mais il tombait une pluie battante (drachait). Le magasin était encore loin alors il décida de prendre la petite camionnette servant à aller jusqu'au petit magasin. Cette petite camionnette était très inconfortable (Tap-tap). Une fois arrivée, il entra dans le petit magasin. Charles voulait acheter une petite lumière pour la mettre dans sa chambre à coucher (Lumerotte). Le vendeur lui dit qu'il n'en restait plus mais Charles avait repéré qu'il en restait une seulement. Le vendeur était très sournois et rusé (chafouin) il voulait la garder pour lui tout seul . Une fois sorti du petit magasin, très en colère, Charles décida d'aller dans un café pour discuter de sa journée avec ses amis, il connaissait beaucoup de personnes, il avait de nombreuses relations (Champagné). Au café, Charles prit un café très fort, fait à la vapeur au percolateur (Ristrette) afin de se réveiller un peu. Il discuta avec un ami qui avait l'air d'être très vif (vigousse), il était heureux car il venait de gagner à la loterie. Une fois son café terminé, il rentra chez lui fatigué de sa journée.</p>CONCOURS DES DIX MOTS ! - Morgane Pierrot 2Curn:md5:adee54089c9ee82ad4db0a563b4ebeab2016-03-08T22:22:17+01:002016-03-09T17:45:37+01:00Morgane Pierrot 2C<p>Par un matin de printemps où il pleuvait très fort (drachait), nous pûmes observer une espèce menacée de disparition. On ne peut que la trouver au plus profond de la vigoureuse, forte et robuste (vigousse) Jacqueline. Apparue en 1953, la Jacqueline avec sa petite mine sournoise et rusée (chafouine) se nourrit tous les matin d'un petit café très fort (ristrette) avec une miche de pain. Quelle magnifique créature !!! Quand on la voit mettre son dentier en place, peu de personne on pu observer le phénomène rare. Une âpre midi plus tard nous la retrouvons de nouveau dans son environnement naturel. La Jacqueline se trouvait dans une petite épicerie de proximité dont les horaires d'ouvertures excédaient largement ceux des autres commerces (dépanneur). Dans sa quête de nourriture, elle rencontra un tout autre animal un papi Michel à poil court. Le papi Michel à poil court est connu pour être une personne influente, aux nombreuses relations (champagné) mais aussi reconnu pour être totalement cinglé (fada). Apres avoir discuté 57 minute, elle repartit avec une boîte de bœuf bourguignon et deux plaquette de beurre. Quand elle sortit dehors la nuit été déjà tombée mais la neige déjà au sol se soulevait et se poussait sous l'effet du vent (poudrerie). La Jacqueline sortit sa petite lampe (lumerotte) de sa poche pour y voir plus clair et retrouver sa petite camionnette délabrée, inconfortable et très décorée extérieurement (tap-tap) qui est le seul moyen de transport découvert à ce jour.</p>CONCOURS DES DIX MOTS ! - Lou-Felices-Mommeja 2curn:md5:a5b02bbe04b0b5a6bccc39c2bdb7a5772016-03-08T21:59:25+01:002016-03-09T17:40:25+01:00Lou-Felices-Mommeja 2c<p>Lors d'une soirée enneigée d'hiver, un homme marchait avec difficulté à travers la poudrerie formée par le blizzard. De plus, le faible éclairage des lampadaires, semblable à des lumerottes, rendait son déplacement d'autant plus difficile. Sa foulée se fit soudainement stopper par un homme ivre ; notre héros le poussa pour passer en le traitant de fada et de non champagne. Notre personnage contrarié se trouva donc fort chafouin. Il continua son chemin dans la sombre rue, lorsqu'une drache soudaine l'obligea à se rendre vers un dépanneur afin de se protéger. C'est en s'y rendant avec vigousse qu'il remarqua avec stupéfaction la présence d'un tap tap garé devant. Ce véhicule atypique le replongea dans sa jeunesse à l'époque où il en prenait fréquemment. Et c'est avec nostalgie qu'il commanda un café et se remémora les moments joyeux passés avec ses amis à Haïti dans ces bus collectifs.</p>