A bout de souffle est sorti en 1960. Donc très peu de temps après la mise en place de nouveaux matériels permettant de nouvelle manière de filmer. Notamment tourner exclusivement en extérieur qui est du jamais vue a cette époque, même pour les studios américains c’était du jamais vue, deux ans plus tars nous avons eu « l’homme qui tua liberty Valance » qui a été filmer pour une partis non négligeable en studio. En 1960 pour la première fois un film était entièrement dans le grand Aire. C’est ca qui ma globalement intéressé ce film a fait beaucoup d’effort pour être spéciale, ce qui ma choqué sont les quelques plan séquences qui ont été réalisé, il était impressionnant je trouve, ils durent facilement plus de cinq minute, ce qui est rare, sans l’aide d’une steadycam[1] qui sera inventé 12 ans plus tard. Après on peut y faire quelque reproche, mois ce qui m’as essentiellement gêné était le montage, il y avait trop de faux raccord dans une même scène que ca en devient comique mais après tous c’était une première mondial.
« A bout de souffle » est très impressionnant pour l’époque non pas forcément pour sont scénario mais pour ses technique et cette manière de voire paris, on ne voit pas un décor de studios juste Paris. Avec les regards caméras occ
[1] Steadicam est un système stabilisateur de prise de vues portatif
Foxtatoe
A bout de souffle,Jean Luc Godart
A bout de souffle a été réalisé par Jean-Luc Godart. Les deux acteurs principaux sont Jean-Paul Belmondo et Jean Seberg.
A bout de souffle est un film de la nouvelle vague. Il s'agit d'un mouvement du cinéma francais de la fin des années 50. Jean Luc Godart comme les autres réalisateurs du mouvement de la nouvelle vague, étaient avant des critiques de cinéma, qui se sont ensuite mis derrière la caméras. La Nouvelle Vague en plus d'avoir un style particulier et des techniques particulières utilisé par les réalisateurs, ils sont eux aussi des « réels personnages ».
A bout de souffle est un film qui dure 1h30 et qui est sortis le 16 Mars 1960. Le film débute sur Michel Poicart, alias Jean-Paul Belmondo. Il est aperçut en gros plan, ou on le voit avec ces habitudes, son chapeau, sa gourmette, sa cigarette… Il effectue son « tic » pour la première fois devant le spectateur hypnotisé, il frôle ses lèvres avec son pouce. Le film commence fort, avec la mort d'un policier tué par Michel Poicart qui était poursuivie parce qu'il a volé une voiture. I l arrive ensuite à Paris. Dans le but de retrouver une jeune et belle Américaine avec qui il a passer une nuit. Il espère pouvoir s’enfuir avec elle en Italie. La jeune femme s'appelle Patricia, alias Jean Seberg. Michel tombe alors éperdument amoureux d'elle car Patricia lui résiste.
Durent le film, le spectateur suit ces deux personnages, leurs histoire d'amours, le sexe, leurs carrière, la fuite, la trahison et la mort.
Jea-Luc Godart a travers ce film a souhaiter choquer les spectateurs des années 1960, à travers le langages très cru sur le sexe.
Le film est en noir et blanc, les cigarettes sont fumé les une après les autres, et le protagoniste demande sans cesse de pouvoir faire l'amour avec notre héroïne Américaine.
Cela laisse une ambiance particulière propre à Jean Luc Godart. Chaque plan sont simple et beau.
La fin du film laisse le spectateur déçu et coupe tout pouvoir d’imagination ou d’interprétation. Personnellement j'ai beaucoup apprécié le film, son décors, le thème mais la fin m'a déçu.
Dolphintatoe/Raventatoe