L'arche, Maélis (4è GS clg J. Prévert)

Je rentrai chez moi. Ce livre m’intriguait et je pris moins de cinq minutes pour commencer à le lire...

 

 

Je rentrai chez moi. Ce livre m’intriguait et je pris moins de cinq minutes pour commencer à le lire.

J’étais tellement plongée dans mon livre que je n’avais pas remarqué que mon téléphone sonnait . C’était au bout du deuxième appel que je décrochai. Je me remis dans ma lecture mais impossible entre mon frère qui pleurait parce qu’il avait perdu sa voiture ; mon chien qui aboyait après un chat. Même les voisins s’y mettaient avec leur tondeuse. Donc je décidais de me mettre dans ma chambre.

J’étais si fatiguée que je m’endormie sur mon lit avec le livre dans les mains.

Je sentais quelque chose me chatouiller le bras.

Je me réveillai dans une forêt. Elle était sombre et calme, aucun bruit aucun animal en vue, aucun homme ! Juste une voix qui se répétait, une voix  très mystérieuse, elle répétait cette phrase encore et encore « je t’avais prévenue, pour le livre, maintenant c’est trop tard. »

J’étais terrifiée. « Suis-je dans un rêve ? me demandai-je, j’ai peut-être été kidnappée ou suis-je devenue somnambule ? Non impossible ! »

Je cherchai pendant longtemps mais je ne trouvais toujours pas.

Je m’étais endormie chez moi et je me réveillais là.

Je constatais que j’avais encore ma montre, il était 23h27 alors qu’il faisait encore jour.

Plus j’avançais dans cette forêt et plus elle m’attirait vers son centre.

Mais j’avais comme l’impression qu’on m’observait. J’eus un léger frisson.

La voix s’était arrêtée, et je me rappelais du mot dans le livre, et je n’y avais pas fait attention j’aurais peut-être dû.

 

Je continuais de marcher quand j’aperçus au quelque chose qui brillait.

Je me mis à courir, puis me retrouvai face à une arche. On aurait dit qu’elle était magique, je m’approchai avec prudence et jetai un bâton à travers. Il disparut ! Comment cela était-il possible ?

Je décidai donc de passer cette arche et je me retrouvai dans ma rue, devant chez moi.

C’est comme ça que je rentrai chez moi je remis le livre dans la bibliothèque et rajoutai au mot « si tu trouves une arche passe dessous et tu reviendras chez toi. »

Personne sut ce qui c’était passé ça restera toujours un mystère non résolu.

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