travailler en option théâtre - Mot-clé - conte2019-01-29T07:40:08+01:00leslie Carreurn:md5:a0868bc581e948d775546db3c239acbeDotclearA propos du narrateur chez Pommeraturn:md5:ab6bae55058c947ced0ffcee8a9f13a72015-09-28T20:49:00+02:002015-10-01T14:48:11+02:00L. Carréprogramme Tale spécialitécontePommeratTerminales L<p>Pommerat a eu souvent recours dans ses spectacles à la figure du narrateur ou celle du présentateur, au récit. Pour nourrir le travail entamé aujourd'hui, vous pourrez feuilleter quelques entretiens et articles. Cela peut d'ailleurs faire un sujet intéressant pour votre dossier personnel !</p>
<p><img src="http://blog.ac-versailles.fr/optiontheatremontgeron/public/pommerat/cendrillon/.Cendrillon_Pommerat_narrateur_m.jpg" alt="" title="Cendrillon_Pommerat_narrateur.jpg, sept. 2015" style="margin: 0 auto; display: block;" /></p> <ul><li>extrait d'un entretien au Festival d'Avignon avec Joël Pommerat :</li>
</ul>
<div class="page" title="Page 2">
<div class="layoutArea">
<div class="column">
<p><span style="font-size: 10.000000pt; font-family: 'OfficinaSans'; font-weight: 700; font-style: italic">VOUS COMMENCEZ DANS VOTRE ADAPTATION PAR FAIRE APPARAÎTRE UN NARRATEUR QUI RACONTE L’HISTOIRE. POURQUOI ?
</span></p>
<p><span style="font-size: 11.000000pt; font-family: 'ChaparralPro'">Ça me paraissait essentiel de garder l’aspect narratif direct, au début en tout cas. Cette histoire est d’abord
racontée avant d’être incarnée. J’ai compris à travers cette expérience, de façon très sensible, à quel point la
forme dialoguée était un artifice. Je me suis demandé pourquoi, pour donner une information, il faut faire du
dialogue ? Pour moi, le dialogue doit être totalement utile. Shakespeare se permet de faire intervenir des personnages qui viennent dire ce qui s’est passé assez directement. Dans le </span><span style="font-size: 11.000000pt; font-family: 'ChaparralPro'; font-style: italic">Petit Chaperon rouge</span><span style="font-size: 11.000000pt; font-family: 'ChaparralPro'">, il y a trois
moments où le dialogue est absolument nécessaire : la rencontre de la petite fille et du loup, la rencontre du
loup et de la grand-mère, et surtout la rencontre de la petite fille et du loup déguisé en grand-mère. Dans ces
instants-là, la parole partagée est essentielle et donc, indispensable. Ailleurs, on peut montrer et dire sans qu’il
y ait dialogue. Dans </span><span style="font-size: 11.000000pt; font-family: 'ChaparralPro'; font-style: italic">Les Marchands</span><span style="font-size: 11.000000pt; font-family: 'ChaparralPro'">, le système n’est pas différent. Les personnages ne se parlent que quand ils
ont à se dire des choses essentielles. </span><span style="font-size: 11.000000pt; font-family: 'ChaparralPro'; font-style: italic">Le Petit Chaperon rouge </span><span style="font-size: 11.000000pt; font-family: 'ChaparralPro'">m’a donné cette confiance pour utiliser librement
la narration directe et parfois refuser le dialogue.
</span></p>
<p><span style="font-size: 10.000000pt; font-family: 'OfficinaSans'; font-weight: 700; font-style: italic">Propos recueillis par Jean-François Perrier </span></p>
<p><span style="font-size: 10.000000pt; font-family: 'OfficinaSans'; font-weight: 700; font-style: italic"><br /></span></p>
<ul><li><span style="font-size: 10pt; font-family: OfficinaSans; font-weight: 700; font-style: italic;">Extrait d'un article publié dans la revue Agôn déjà citée sur le blog :article de </span><span style="font-family: Lucida, Arial, sans-serif; font-size: 13px; background-color: rgb(255, 255, 255);">Marie </span><span class="familyName" style="font-family: Lucida, Arial, sans-serif; font-size: 13px;">Bernanoce : <a href="http://agon.ens-lyon.fr/index.php?id=3109#tocto1n3">http://agon.ens-lyon.fr/index.php?id=3109#tocto1n3</a> (vous trouverez un plus grand extrait en pièce jointe)</span></li>
</ul>
<p class="texte" dir="ltr" style="line-height: 19.200000762939453px; text-align: justify; margin: 1ex 0; padding: 0; border: 0; font-family: Arial, Verdana, 'sans serif'; font-size: 13px; text-indent: 3ex;">Alors qu’en est-il précisément du récitant dans <em>Cendrillon </em>? (...) <span style="text-indent: 3ex;">Dans </span><em style="text-indent: 3ex;">Pinocchio, </em><span style="text-indent: 3ex;">à un héros masculin correspond un conteur homme. Dans </span><em style="text-indent: 3ex;">Cendrillon, </em><span style="text-indent: 3ex;">la figure du récitant se dédouble, d’une part en opposant/réunissant sexe masculin et sexe féminin et, d’autre part, en opposant/réunissant gestes et parole. Rappelons la présentation des personnages :</span></p>
<blockquote style="margin: 0; padding: 0; border: 0; font-family: Arial, Verdana, 'sans serif'; font-size: 13px;"><p class="citation" dir="ltr" style="line-height: 17.280000686645508px; text-align: justify; margin: 2ex 0 2ex 4em; padding: 0; border: 0; font-size: 0.9em;"><strong>Une narratrice dont on n’entend que la voix</strong></p>
<p class="citation" dir="ltr" style="line-height: 17.280000686645508px; text-align: justify; margin: 2ex 0 2ex 4em; padding: 0; border: 0; font-size: 0.9em;"><strong>Un homme qui fait des gestes pendant qu’elle parle</strong></p>
</blockquote><p class="texte" dir="ltr" style="line-height: 19.200000762939453px; text-align: justify; margin: 1ex 0; padding: 0; border: 0; font-family: Arial, Verdana, 'sans serif'; font-size: 13px; text-indent: 3ex;">Lorsque l’on observe les gestes de l’homme dans la mise en scène, on se rend très vite compte qu’il ne s’agit en aucun cas d’une quelconque illustration des propos de la voix de la « narratrice ». Aucune visée réaliste dans cette entreprise. Voix et corps sont traités volontairement sur le mode du décalage, ce que renforce le fort accent étranger de la comédienne « narratrice » italienne, Marcella Carrara.</p>
<p class="texte" dir="ltr" style="line-height: 19.200000762939453px; text-align: justify; margin: 1ex 0; padding: 0; border: 0; font-family: Arial, Verdana, 'sans serif'; font-size: 13px; text-indent: 3ex;">Par ailleurs, les propos qui sont tenus par ce récitant double contribuent eux aussi à creuser la figure de cette narratrice et de la narration elle-même : </p>
<blockquote style="margin: 0; padding: 0; border: 0; font-family: Arial, Verdana, 'sans serif'; font-size: 13px;"><p class="citation" dir="ltr" style="line-height: 17.280000686645508px; text-align: justify; margin: 2ex 0 2ex 4em; padding: 0; border: 0; font-size: 0.9em;">Je vais vous raconter une histoire d’il y a très longtemps… Tellement longtemps que je ne me rappelle plus si dans cette histoire c’est de moi qu’il s’agit ou bien de quelqu’un d’autre. J’ai eu une vie très longue. J’ai habité dans des pays tellement lointains qu’un jour j’ai même oublié la langue que ma mère m’avait apprise.</p>
<p class="citation" dir="ltr" style="line-height: 17.280000686645508px; text-align: justify; margin: 2ex 0 2ex 4em; padding: 0; border: 0; font-size: 0.9em;">Ma vie a été tellement longue et je suis devenue tellement âgée que mon corps est devenu aussi léger et transparent qu’une plume. Je peux encore parler mais uniquement avec des gestes. Si vous avez assez d’imagination, je sais que vous pourrez m’entendre. Et peut-être même me comprendre.</p>
</blockquote><p class="texte" dir="ltr" style="line-height: 19.200000762939453px; text-align: justify; margin: 1ex 0; padding: 0; border: 0; font-family: Arial, Verdana, 'sans serif'; font-size: 13px; text-indent: 3ex;">Ces usages du récitant se jouent ainsi de façon hybride de plusieurs contraires qu’ils tentent de relier tout en les opposant, féminin/masculin, incarnation/désincarnation, paroles/gestes, présence/absence et, ultimement, vie/mort. (...) Et si Joël Pommerat recourt au terme de « narratrice », il n’est pas nécessaire de prendre cela pour argent comptant. On peut en effet y discerner, on l’aura compris, un positionnement ironique qui réclame du spectateur une connivence en alerte, profondément double, entre adhésion et recul, dramatique et épique, qui fonde son esthétique du récit. </p>
<p class="texte" dir="ltr" style="line-height: 19.200000762939453px; text-align: justify; margin: 1ex 0; padding: 0; border: 0; font-family: Arial, Verdana, 'sans serif'; font-size: 13px; text-indent: 3ex;">A cela s’ajoute la construction d’échos entre la parole du récit et les contenus de l’action, déjà à l’œuvre dans ses deux autres pièces jeunesse mais qui semble se renforcer dans <em>Cendrillon</em>. On ne manquera pas de remarquer ainsi combien la figure féminine du récitant se trouve placée sur le même plan symbolique que la mère de La très jeune fille, et le texte didascalique y invite clairement : « paroles incompréhensibles », « inaudible ». On peut donc percevoir <strong>une sorte de relais entre la mère de la « narratrice », la « narratrice » elle-même et la mère de la très jeune fille, cette dernière prenant clairement son envol en sortant de cette chaîne, qui plus est par une parole forte, audible, associée à l’action</strong>. C’est tout le sens de la scène où elle révèle au Très jeune prince la mort de sa mère, « fort » note le texte didascalique :</p>
<blockquote style="margin: 0; padding: 0; border: 0; font-family: Arial, Verdana, 'sans serif'; font-size: 13px;"><p class="citation" dir="ltr" style="line-height: 17.280000686645508px; text-align: justify; margin: 2ex 0 2ex 4em; padding: 0; border: 0; font-size: 0.9em;">LA TRES JEUNE FILLE</p>
<p class="citation" dir="ltr" style="line-height: 17.280000686645508px; text-align: justify; margin: 2ex 0 2ex 4em; padding: 0; border: 0; font-size: 0.9em;">Tu penses pas des fois qu’on est en train de te raconter des histoires avec cette histoire ? (…)</p>
<p class="citation" dir="ltr" style="line-height: 17.280000686645508px; text-align: justify; margin: 2ex 0 2ex 4em; padding: 0; border: 0; font-size: 0.9em;">LE TRES JEUNE PRINCE</p>
<p class="citation" dir="ltr" style="line-height: 17.280000686645508px; text-align: justify; margin: 2ex 0 2ex 4em; padding: 0; border: 0; font-size: 0.9em;">Tu aimerais ça moi que je te dise que ta mère est morte ?</p>
<p class="citation" dir="ltr" style="line-height: 17.280000686645508px; text-align: justify; margin: 2ex 0 2ex 4em; padding: 0; border: 0; font-size: 0.9em;">LA TRES JEUNE FILLE</p>
<p class="citation" dir="ltr" style="line-height: 17.280000686645508px; text-align: justify; margin: 2ex 0 2ex 4em; padding: 0; border: 0; font-size: 0.9em;">Ben tu pourrais…Tu pourrais me le dire…. Pace que c’est la vérité, ma mère est morte et tu sais moi aussi faut que j’arrête je crois de me raconter des histoires, me raconter qu’elle va peut-être revenir un jour ma mère, si je pense à elle continuellement par exemple non ! Elle est morte et c’est comme ça !</p>
</blockquote><p class="texte" dir="ltr" style="line-height: 19.200000762939453px; text-align: justify; margin: 1ex 0; padding: 0; border: 0; font-family: Arial, Verdana, 'sans serif'; font-size: 13px; text-indent: 3ex;"><strong>Se raconter des histoires, et le mot revient très souvent, ne mène qu’à l’impasse.</strong></p>
</div>
</div>
</div>Quelques sites à consulter autour du conteurn:md5:aa8b9fa4dadaa60252b19e10c1a29c2f2015-09-25T20:27:00+02:002015-09-26T16:16:56+02:00L. Carréprogramme Tale spécialitécontePommeratTerminales L<p>En complément du cours de vendredi dernier, vous trouverez ici quelques pages intéressantes sur les contes, leur interprétation, différentes variantes et illustrations de contes parmi les plus connus, en particulier des variantes de Cendrillon.</p>
<p><img src="http://blog.ac-versailles.fr/optiontheatremontgeron/public/pommerat/cendrillon/illustrations/.illustration_cavo_m.jpg" alt="" title="illustration_cavo.jpg, déc. 2013" style="margin: 0 auto; display: block;" /></p> <p><img src="http://blog.ac-versailles.fr/optiontheatremontgeron/public/pommerat/cendrillon/illustrations/.disney_2_m.jpg" alt="" title="disney_2.jpg, janv. 2014" style="margin: 0 auto; display: block;" /></p>
<p>- Vous pourrez d'abord aller consulter le site de la Bnf autour d'une exposition consacrée au conte : <a href="http://expositions.bnf.fr/contes/">http://expositions.bnf.fr/contes/</a> et plus précisément sur Cendrillon : <a href="http://expositions.bnf.fr/contes/gros/cendrill/indavat.htm">http://expositions.bnf.fr/contes/gros/cendrill/indavat.htm</a></p>
<p><img src="http://blog.ac-versailles.fr/optiontheatremontgeron/public/pommerat/cendrillon/illustrations/.1311149-Charles_Perrault_couverture_pour_Cendrillon_m.jpg" alt="" title="1311149-Charles_Perrault_couverture_pour_Cendrillon.jpg, déc. 2013" /></p>
<p>- un site qui répertorie toutes les variantes du conte et leurs illustrateurs : <a href="http://www.ricochet-jeunes.org/les-classiques/refid/23&them=Conte">http://www.ricochet-jeunes.org/les-classiques/refid/23&them=Conte</a></p>
<p><img src="http://blog.ac-versailles.fr/optiontheatremontgeron/public/pommerat/cendrillon/illustrations/.illustration_cendrillon_m.jpg" alt="" title="illustration_cendrillon.jpg, déc. 2013" style="float: left; margin: 0 1em 1em 0;" /></p>
<p><img src="http://blog.ac-versailles.fr/optiontheatremontgeron/public/pommerat/cendrillon/illustrations/cendrillon_illustration.jpg" alt="" title="cendrillon_illustration.jpg, janv. 2014" style="float: right; margin: 0 0 1em 1em;" />- un article consacré à une anthologie intitulée "Sous la cendre,- Figures de Cendrillon" proposant de très nombreuses versions du conte (africaine, asiatique...) interprétant ce récit "<span style="background-color: rgb(255, 255, 255); color: rgb(55, 55, 55); font-family: Verdana, sans-serif; font-size: 11px; line-height: 17px; text-align: justify;">comme un itinéraire psychique, celui des filles face à leur mère […], qui doit aboutir à l’acquisition de la féminité, à la conscience de sa propre identité, et à la reconnaissance de celle-ci »</span><span style="background-color: rgb(255, 255, 255); color: rgb(55, 55, 55); font-family: Verdana, sans-serif; font-size: 11px; line-height: 17px; text-align: justify;"> : </span><a href="http://feeries.revues.org/723">http://feeries.revues.org/723</a></p>
<p>- un article sur les adaptations de Cendrillon sur scène : <a href="http://feeries.revues.org/273">http://feeries.revues.org/273</a></p>
<p><img src="http://blog.ac-versailles.fr/optiontheatremontgeron/public/pommerat/cendrillon/illustrations/.illustration_3_m.jpg" alt="" title="illustration_3.jpg, janv. 2014" style="float: left; margin: 0 1em 1em 0;" /></p>Carnet de bord de la séance du 7 septembre T02urn:md5:97c7b1c976aeae7ed0a7f8c6b2bcdc7d2015-09-11T12:27:00+02:002015-09-24T21:39:05+02:00102Lrépétitions et carnets de bordcarnet de bordcontePommeratTerminales L<p>Voici la première page du carnet de bord des Terminales 2 option de spécialité. Merci à Laure d'ouvrir le bal !</p> <p> </p>
<p> 07/09/15 <strong><ins> Séance 1</ins></strong></p>
<p>Un petit moment dans le couloir : On discute, on rigole...Puis, rentrés on dépose nos affaires dans les salles et quelques informations nous sont données : programme, sorties..etc Et c'est parti, on se lance sur le plateau, on rentre dans le travail ! </p>
<p>On retrouve petit à petit les sensations perdues durant ces deux mois, celles de l'excitation, la transformation, et le fait de pouvoir toucher à des choses nouvelles et différentes.</p>
<p><strong><ins>Échauffements/ Exercices</ins></strong> :</p>
<p>On commence par des échauffements. Tout d'abord on marche sur le plateau, tête relevée, en essayant de trouver une marche commune à celle du groupe, ainsi que la même énergie tout en essayant de combler tous les vides pour que le plateau soit bien équilibré. Ici, on travail l'écoute et la concentration mais on se prépare aussi à rentrer dans le jeu. En effet, le groupe est très énergique, et a une démarche rapide tandis que moi, au début, je marche lentement d'un pas nonchalant, je ne suis pas encore "réveillée", pas dans le travail, il me faut un peu plus de temps. Suite à cette marche on joue avec la position de nos pieds ce qui nous amène à marcher différemment. Dans mon cas, par exemple, en marchant sur la pointe des pieds mon buste passe en avant, tout comme mes bras, qui s'allongent le long de mon corps, et ma tête se baisse ce qui donne un effet "bossu de Notre Dame", puis en exagérant cette marche un personnage apparaît, la voix se transforme, je ne suis plus moi mais quelqu'un d'autre. Par la suite, on se met en diagonale, l'un derrière l'autre par couple de deux, et là vient travailler notre imagination. Un lieu, une température nous est donnée et c'est à nous de construire et de donner vie à ce lieu. C'est assez compliqué parce que dans cette situation on veut donner vie à cet endroit par des gestes, par la parole pour que celui ou celle qui nous regarde voit ce qu'on veut lui montrer. Mais la clé est de voir cet endroit dans notre tête, essayer de ressentir l' odeur des arbres, de la nature ou encore entendre le chant des oiseaux, les craquements des branches si on est dans un bois, par exemple. Le travaille se fait tout d'abord intérieurement, il faut essayer de visualiser, ce qui, en soi n'est pas si simple. Cela demande énormément de concentration. Puis on fait la traversée du plateau, une fois qu'on est prêt.</p>
<p><strong><ins>Improvisations/ Travail (conte)</ins></strong> : Cendrillon </p>
<p>Une partie du groupe se lance sur le plateau ainsi qu'un narrateur, et là commence l'histoire de Cendrillon. Le narrateur raconte et lorsque le professeur tape des mains, on entre et on joue la scène racontée. Ca a l'air facile dit comme ça mais en réalité ça ne l'est pas. En effet, le narrateur doit, dans son récit nous raconter une histoire logique tout en utilisant une langue qui porte et qui lui soit propre. Mais dans la précipitation, dans l'oralité on n'a pas le temps de chercher ses mots comme quand écrit une histoire à la main, car là on va pouvoir retourner en arrière, gommer ce qui ne va pas pas mais là...non ! Donc plusieurs erreurs peuvent survenir comme une mauvaise utilisation des temps, la perte d'une histoire logique, tout en sachant qu'à chaque nouvelle scène le narrateur est coupé par les comédiens qui vont le distraire puisque lorsque l'on joue, on parle donc on ajoute quelque chose au récit et influence le narrateur sur la suite de son récit.</p>
<p><strong>Et pour arranger ça, un on se lance dans un travail de narration</strong></p>
<p>On avait, pour ce jour, des textes à écrire dans lequel on devait raconter un malentendu qui s'est produit quand on était petit et qui avait eu lieu avec nos parents. On s'échange donc nos textes pour qu'ils soient lus par quelqu'un d'autre (<strong>d'ailleurs, c'est une chose très intéressante parce qu'on a l'occasion d'entendre notre texte être lu différemment, avec une émotion différente mais j'y reviendrai tout à l'heure</strong>). Durant cet exercice on a rencontré beaucoup de difficultés : </p>
<p>On ne doit pas avoir le nez sur le texte mais enchaîner la lecture et le regard, parce que sinon la lecture est machinale, les mots sont coupés ce qui sonne étrange. Ce qu'il faut, ici, c'est gagner en fluidité. C'est un travail de conte, donc on doit faire entrer ceux qui nous écoutent dans notre univers. On doit pour cela avoir un regard présent, faire face à nos auditeurs même si il y a quelques silences, parce que en effet, on ne connait pas le texte. Il ne faut pas avoir peur de ces silences car tout le travail se trouve dans le rapport qu'il y a entre nous et les auditeurs. Si on est présent, et qu'on les tient du regard, il ne lâcheront pas et resteront captivés par notre histoire. Il ne faut pas faire semblant de les regarder, ce que certains d'entre nous ont fait. Si le regard est là, le texte est vivant. Il faut que l'on s’approprie l'histoire, car un récit c'est pas simple mais il faut trouver la stylistique, y ajouter notre touche personnelle, trouver l'élément de l'histoire qui nous plait et qui va nous captiver. On va aussi trop vite à certains moments durant la lecture, du coup les mots clé, le malentendu n'est pas bien compris, et mis en valeur. Il faut qu'on appuie sur ces mots ( les malentendus) parce que c'est généralement ceux la qu'on entend le moins bien.</p>
<p> </p>
<p>Lorsque j'ai lu le texte de ma camarade pour la première fois ça m'a raconté quelque chose. Lorsqu'elle était petite sa mère lui apprenait à retenir le nom des couleurs en les associant à des aliments : rouge comme la tomate, vert comme la salade, jaune comme la banane..etc. Mais le bleu ?! Elle ne savait pas. Elle a donc mis le pinceau avec la peinture bleue dans sa bouche et lorsque sa mère est arrivée elle lui a demander pourquoi est-ce qu'elle avait fait ça, et elle lui a répondu :<em> "Maman, je sais pas c'est quoi le bleu comme manger mais c'est pas bon</em>..." Et j'ai trouvé ce souvenir à la fois très beau et drôle mais ce qui m'a parlé c'est la présence de la mère dans l'histoire. Je me suis donc appropriée le récit en imaginant que je racontais un bon souvenir que j'avais vécu avec elle parce qu'elle n'était plus là, ou parce qu'on était éloignée et que seuls les souvenirs pouvaient me rapprocher d'elle. Et je doute fortement que lorsque ma camarade a écrit son récit elle le voyait comme ça elle aussi. De même pour sa lecture de mon texte : le ton qu'elle a mis lorsqu'elle le lisait donnait cette impression de souvenir d'un être cher, or moi je l'aurai lu de façon détachée, en essayant de donner vie à l'histoire mais tout en racontant l'histoire de quelqu'un d'autre en gardant cette distance alors que là ce n'était plus mon histoire mais la sienne..!</p>
<p>Laure Clairin, T02</p>Stages à l'EDT91urn:md5:9d2524422141d1035a7f0ab21edbb65a2014-03-18T16:07:00+01:002014-03-18T16:08:32+01:00L. Carrérépétitions et carnets de bordcontedansePremières LTerminales L<p>Voici les prochains stages proposés par l'EDT pendant le week-end mais aussi pendant les vacances de Pâques. Si vous voulez souffler un peu entre vos révisions, c'est un excellent programme ! J'attire en particulier l'attention des 1ères obligatoires et des Terminales sur un stage consacré à l"l'acteur conteur" les 29-30 mars et un stage sur "la danse qui se raconte... Il était une fois", ce qui peut évidemment apporter des éclairages très intéressants sur le conte. Allez consulter le site de l'EDT qui est en ligne à droite de la page...</p>
<p><img src="http://blog.ac-versailles.fr/optiontheatremontgeron/public/Stages_EDT/.stage_acteur_conteur_m.jpg" alt="" title="stage_acteur_conteur.gif, mar. 2014" style="margin: 0 auto; display: block;" /></p> <div class="page" title="Page 23">
<div class="section">
<div class="layoutArea">
<div class="column">
<ul><li><strong style="font-family: 'Agency FB,Bold'; font-size: 14pt;">La danse qui se raconte
il était une fois ...</strong></li>
</ul>
<p><span style="font-size: 11.000000pt; font-family: 'Agency FB,Bold'">Intervenants </span><span style="font-size: 12.000000pt; font-family: 'Agency FB,Bold'">: </span><span style="font-size: 10.000000pt; font-family: 'Agency FB,Bold'">Denise Namura et
Michael Bugdahn </span><span style="font-size: 10.000000pt; font-family: 'Agency FB'">(Cie A Fleur de Peau)
</span></p>
<p><strong><span style="font-size: 9.000000pt; font-family: 'Agency FB,Bold'">Semaine du 21 au 25 avril 2014 de 10h à
</span><span style="font-size: 9.000000pt; font-family: 'Agency FB,Bold'">17h - </span></strong><span style="font-size: 8.000000pt; font-family: 'Agency FB,Bold'"><strong>présentation publique du travail réalisé
le 25 avril au soir.</strong><br />
</span><span style="font-size: 9.000000pt; font-family: 'Agency FB'">Public : à partir de 16 ans, non débutant.
</span></p>
</div>
</div>
</div>
<img src="file:///page23image4168" alt="page23image4168" width="108.860000" height="0.480000" />
<div class="layoutArea">
<div class="column">
<p><span style="font-size: 9.000000pt; font-family: 'Agency FB'">Tout en faisant un travail de préparation
de l'interprète et une recherche sur la
théâtralisation du mouvement, nous plon-
gerons dans l'univers des contes et des
petites histoires extraordinaires et quoti-
diennes.
</span></p>
<p><span style="font-size: 9.000000pt; font-family: 'Agency FB'">Se mettre corps et âme au service du
récit, faire passer les informations essen-
tielles en se servant de tous les moyens
d'expression dont dispose notre corps.
Identification aux personnages ou distan-
ciation. Comment parvenir à la communi-
cation entre les interprètes et celle avec
le public, à cette échange absolument vital
pour l'acte scénique.
</span></p>
<p><span style="font-size: 9.000000pt; font-family: 'Agency FB'">Nous explorerons le passage de la narration à l'interprétation dansée et le passage </span><span style="font-family: 'Agency FB'; font-size: 9pt;">du mouvement abstrait aux gestes narratifs.</span></p>
</div><div class="column">
<p><span style="font-size: 9.000000pt; font-family: 'Agency FB,Bold'">Denise Namura et Michael Bugdahn </span><span style="font-size: 9.000000pt; font-family: 'Agency FB,Bold'">:
</span></p>
<p><span style="font-size: 9.000000pt; font-family: 'Agency FB'">La Brésilienne Denise Namura et l‟Alle-
</span><span style="font-size: 9.000000pt; font-family: 'Agency FB'">mand Michael Bugdahn fondent leur com-
pagnie à Paris en 1988. À ce jour, ils ont
créé une trentaine de spectacles pour « à
</span><span style="font-size: 9.000000pt; font-family: 'Agency FB'">fleur de peau » et d‟autres compagnies
</span><span style="font-size: 9.000000pt; font-family: 'Agency FB'">comme le Ballet National de la Ville de São
Paulo, la Cia. Cisne Negro, la Cia. De Dan-
ças de Diadema, Cia. Grupo Primeiro Ato,
la Cia. Portuguesa de Bailado Contemporâ-
neo et le Bernballett. La compagnie a
participé à de nombreuses manifestations
internationales de renom et tourné ses
créations dans une quinzaine de pays ;
elles ont été primées à plusieurs reprises.
La théâtralisation du mouvement dansé, le
tragi-</span><span style="font-size: 9.000000pt; font-family: 'Agency FB'">comique et l‟émotion sont à la base
</span><span style="font-size: 9.000000pt; font-family: 'Agency FB'">de leur démarche créative. En prônant le
métissage des genres, « à fleur de peau »
explore la condition humaine avec généro-
sité, ironie et tendresse afin de réaliser un
partage immédiat avec le spectateur.</span></p>
</div>
</div>
<div class="layoutArea">
<div class="column">
<p><span style="font-size: 8.000000pt; font-family: 'Agency FB,Bold'">Renseignements / Inscriptions : edt.essonne@orange.fr - 01 60 78 49 33<br />
Tarifs : 170 </span><span style="font-size: 8.000000pt; font-family: 'Candara,Bold'">€ </span><span style="font-size: 8.000000pt; font-family: 'Agency FB,Bold'">Essonniens / 195</span><span style="font-size: 8.000000pt; font-family: 'Candara,Bold'">€ </span><span style="font-size: 8.000000pt; font-family: 'Agency FB,Bold'">Hors Essonne / 160 </span><span style="font-size: 8.000000pt; font-family: 'Candara,Bold'">€ </span><span style="font-size: 8.000000pt; font-family: 'Agency FB,Bold'">Adhérents FNCTA / 140 </span><span style="font-size: 8.000000pt; font-family: 'Candara,Bold'">€ </span><span style="font-size: 8.000000pt; font-family: 'Agency FB,Bold'">Elèves EDT91
</span></p>
</div>
</div>
<div class="layoutArea">
<div class="column">
<p><span style="font-size: 10.000000pt; font-family: 'Agency FB,Bold'">01 60 78 49 33 - edt.essonne@orange.fr </span><span style="font-size: 9.000000pt; font-family: 'Agency FB,Bold'">- </span><span style="font-size: 14.000000pt; font-family: 'Agency FB,Bold'">www.edt91.com </span></p>
</div>
</div>
</div>Autour de "L'Enfant de la haute mer" de Supervielleurn:md5:21c83b7c8ee71eb554705ce1850b6a122014-01-27T10:36:00+01:002014-01-27T10:41:36+01:00L. Carréoption facultative1ères facconteSupervielle<p class="yiv2205144247MsoNormal" id="yui_3_13_0_ym1_1_1390814184516_2230" style="padding: 0; margin-right: 0cm; margin-bottom: 0; margin-left: 0cm; font-size: 12pt; font-family: 'Helvetica Neue', 'Segoe UI', Helvetica, Arial, 'Lucida Grande', sans-serif; background-color: rgb(255, 255, 255);"><span id="yui_3_13_0_ym1_1_1390814184516_2231" style="font-size: 11pt;">Les 1ères option facultative commencent un travail sur le conte en s’inspirant d’un texte de Jules Supervielle, <em id="yui_3_13_0_ym1_1_1390814184516_2233">L’Enfant de la haute mer</em>, récit qui évoque l’histoire émouvante d’une fillette vivant seule dans une ville à demi engloutie, invisible aux humains.</span></p>
<p class="yiv2205144247MsoNormal" id="yui_3_13_0_ym1_1_1390814184516_2234" style="padding: 0; margin: 0 0cm; font-size: 12pt; font-family: 'Helvetica Neue', 'Segoe UI', Helvetica, Arial, 'Lucida Grande', sans-serif; background-color: rgb(255, 255, 255);"><span id="yui_3_13_0_ym1_1_1390814184516_2235" style="font-size: 11pt;">Voici quelques images et liens visuels pour nourrir votre imaginaire et vous plonger dans l’atmosphère poétique et onirique du conte de Supervielle. </span></p>
<p class="yiv2205144247MsoNormal" id="yui_3_13_0_ym1_1_1390814184516_2234" style="padding: 0; margin: 0 0cm; font-size: 12pt; font-family: 'Helvetica Neue', 'Segoe UI', Helvetica, Arial, 'Lucida Grande', sans-serif; background-color: rgb(255, 255, 255);"><span style="font-size: 11pt;"><br /></span></p>
<p class="yiv2205144247MsoNormal" id="yui_3_13_0_ym1_1_1390814184516_2234" style="padding: 0; margin: 0 0cm; font-size: 12pt; font-family: 'Helvetica Neue', 'Segoe UI', Helvetica, Arial, 'Lucida Grande', sans-serif; background-color: rgb(255, 255, 255);"><span style="font-size: 11pt;">Muriel Puy et Elisabeth Potier</span></p>
<p class="yiv2205144247MsoNormal" id="yui_3_13_0_ym1_1_1390814184516_2234" style="padding: 0; margin: 0 0cm; font-size: 12pt; font-family: 'Helvetica Neue', 'Segoe UI', Helvetica, Arial, 'Lucida Grande', sans-serif; background-color: rgb(255, 255, 255);"><span style="font-size: 11pt;"><br /></span></p>
<p class="yiv2205144247MsoNormal" id="yui_3_13_0_ym1_1_1390814184516_2234" style="padding: 0; margin: 0 0cm; font-size: 12pt; font-family: 'Helvetica Neue', 'Segoe UI', Helvetica, Arial, 'Lucida Grande', sans-serif; background-color: rgb(255, 255, 255);"><span style="font-size: 11pt;"><img src="http://blog.ac-versailles.fr/optiontheatremontgeron/public/Supervielle/banque_d_images/.hokusai_la_vague2_m.jpg" alt="" title="hokusai_la_vague2.jpg, janv. 2014" style="margin: 0 auto; display: block;" /><br /></span></p> <p><img src="http://blog.ac-versailles.fr/optiontheatremontgeron/public/Supervielle/banque_d_images/.CVT_Lenfant-de-la-haute-mer_2747_m.jpg" alt="" title="CVT_Lenfant-de-la-haute-mer_2747.gif, janv. 2014" style="margin: 0 auto; display: block;" /></p>
<p><img src="http://blog.ac-versailles.fr/optiontheatremontgeron/public/Supervielle/banque_d_images/.1958-rue-antonin-paris-sommieres_m.jpg" alt="" title="1958-rue-antonin-paris-sommieres.jpg, janv. 2014" /><img src="http://blog.ac-versailles.fr/optiontheatremontgeron/public/Supervielle/banque_d_images/.1679179325_m.jpg" alt="" title="1679179325.jpg, janv. 2014" /><img src="http://blog.ac-versailles.fr/optiontheatremontgeron/public/Supervielle/banque_d_images/.dessin-crayon-perspective-r_m.jpg" alt="" title="dessin-crayon-perspective-r.jpg, janv. 2014" /><img src="http://blog.ac-versailles.fr/optiontheatremontgeron/public/Supervielle/banque_d_images/.paris-1910-inondations-107673-big_m.jpg" alt="" title="paris-1910-inondations-107673-big.jpg, janv. 2014" /><img src="http://blog.ac-versailles.fr/optiontheatremontgeron/public/Supervielle/banque_d_images/.park-row-leeds-1882_john_atkinson_m.jpg" alt="" title="park-row-leeds-1882_john_atkinson.jpg, janv. 2014" /></p>
<p><img src="http://blog.ac-versailles.fr/optiontheatremontgeron/public/Supervielle/banque_d_images/.Vertige_m.jpg" alt="" title="Vertige.jpg, janv. 2014" /></p>
<p><img src="http://blog.ac-versailles.fr/optiontheatremontgeron/public/Supervielle/banque_d_images/.ad7c4f46_m.jpg" alt="" title="179552_001, janv. 2014" style="float: left; margin: 0 1em 1em 0;" /></p>
<p><img src="http://blog.ac-versailles.fr/optiontheatremontgeron/public/Supervielle/banque_d_images/.hokusai_la_vague2_m.jpg" alt="" title="hokusai_la_vague2.jpg, janv. 2014" /></p>
<p><img src="http://blog.ac-versailles.fr/optiontheatremontgeron/public/Supervielle/banque_d_images/.georgia_o__keefe_blue_2_m.jpg" alt="" title="georgia_o__keefe_blue_2.jpg, janv. 2014" style="float: left; margin: 0 1em 1em 0;" /></p>
<p><img src="http://blog.ac-versailles.fr/optiontheatremontgeron/public/Supervielle/banque_d_images/.bebe-hurle_m.jpg" alt="" title="bebe-hurle.jpg, janv. 2014" style="float: left; margin: 0 1em 1em 0;" /><img src="http://blog.ac-versailles.fr/optiontheatremontgeron/public/Supervielle/banque_d_images/.crier-ouarab-2011-988x1024_m.jpg" alt="" title="crier-ouarab-2011-988x1024.jpg, janv. 2014" /></p>
<p><img src="http://blog.ac-versailles.fr/optiontheatremontgeron/public/Supervielle/banque_d_images/.22600_m.jpg" alt="" title="22600.jpg, janv. 2014" style="float: right; margin: 0 0 1em 1em;" /><img src="http://blog.ac-versailles.fr/optiontheatremontgeron/public/Supervielle/banque_d_images/.psychose-1960-19-g-1024x958_m.jpg" alt="" title="psychose-1960-19-g-1024x958.jpg, janv. 2014" /></p>
<p><img src="http://blog.ac-versailles.fr/optiontheatremontgeron/public/Supervielle/banque_d_images/.fran_et_oli_m.jpg" alt="" title="fran_et_oli.jpg, janv. 2014" style="margin: 0 auto; display: block;" /></p>
<p><img src="http://blog.ac-versailles.fr/optiontheatremontgeron/public/Supervielle/banque_d_images/geraldine_sathis.jpg" alt="" title="geraldine_sathis.jpg, janv. 2014" /> <img src="http://blog.ac-versailles.fr/optiontheatremontgeron/public/Supervielle/banque_d_images/.beggar-woman-1909_m.jpg" alt="" title="beggar-woman-1909.jpg, janv. 2014" style="float: right; margin: 0 0 1em 1em;" /></p>Cendrillon, c'est parti...urn:md5:37dda6aeafd0827784bc7c375b0a386a2014-01-09T14:23:00+01:002014-01-27T10:43:07+01:00L. Carréprogramme Tale spécialitécontePommerat<p>Demain soir, nous irons voir <em>Cendrillon</em> de Joël Pommerat (auteur et metteur en scène de la pièce) et commencerons dans la foulée, en Terminale ob, le travail sur cette pièce. Voici donc, pour commencer, quelques documents de présentation du spectacle. <strong>Spectacle à 20h à l'Agora, Rv sur place à 19h30.</strong></p>
<div class="page" title="Page 1">
<div class="layoutArea">
<div class="column">
<p><span style="font-size: 9.000000pt; font-family: 'Arial,Italic'">Une très jeune fille. Sa mère meurt. Juste avant de mourir cette femme essaye de parler à sa fille. Mais
</span><span style="font-size: 9.000000pt; font-family: 'Arial,Italic'">elle est très faible, et la très jeune fille n’entend pas très bien ses paroles à moitié articulées.<br />
</span><span style="font-size: 9.000000pt; font-family: 'Arial,Italic'">La très jeune fille, </span><span style="font-size: 9.000000pt; font-family: 'Arial,Italic'">qui a beaucoup d’imagination, invente une « </span><span style="font-size: 9.000000pt; font-family: 'Arial,Italic'">promesse » que sa mère lui demanderait
de respecter.
</span></p>
<p><span style="font-size: 9.000000pt; font-family: 'Arial,Italic'">De toute sa vie, ne jamais cesser de penser à elle, à chaque instant, sous peine de la faire mourir « pour
de bon </span><span style="font-size: 9.000000pt; font-family: 'Arial,Italic'">»...<br />
</span><span style="font-size: 9.000000pt; font-family: 'Arial,Italic'">Ce malentendu mènera la très jeune fille à des extrémités de comportement, à se mépriser, à se
</span><span style="font-size: 9.000000pt; font-family: 'Arial,Italic'">dévaluer, et jusqu’à de très grandes souffrances.
</span></p>
<p><span style="font-size: 9.000000pt; font-family: 'Arial,Italic'">D’autant qu’elle devra affronter la malveillante bêtise de la nouvelle femme de son père.
</span><span style="font-size: 9.000000pt; font-family: 'Arial,Italic'">Heureusement, une fée immortelle, mais que sa condition ennuie, va lui venir en aide.<br />
Puis sa rencontre avec un prince, orphelin lui aussi, rendra possible la compréhension de ses erreurs. </span></p>
<p><span style="font-size: 9.000000pt; font-family: 'Arial,BoldItalic'">Joël Pommerat </span></p>
<p><span style="font-size: 9.000000pt; font-family: 'Arial,BoldItalic'"><img src="http://blog.ac-versailles.fr/optiontheatremontgeron/public/pommerat/cendrillon/.CendrillonConcours2-428x390_m.jpg" alt="" title="CendrillonConcours2-428x390.png, janv. 2014" style="margin: 0 auto; display: block;" /><br /></span></p>
</div>
</div>
</div> <p>- <strong>En annexe</strong>, vous trouverez le dossier pédagogique de L'Odéon et une revue de presse.</p>
<p><img src="http://blog.ac-versailles.fr/optiontheatremontgeron/public/pommerat/cendrillon/.cendrillon-pommerat_m.jpg" alt="" title="cendrillon-pommerat.jpg, janv. 2014" style="margin: 0 auto; display: block;" /></p>
<p>- <strong>un extrait video</strong> :<a href="http://www.youtube.com/watch?v=Ago6uWYqlfY">http://www.youtube.com/watch?v=Ago6uWYqlfY</a></p>
<p><img src="http://blog.ac-versailles.fr/optiontheatremontgeron/public/pommerat/cendrillon/.Cendrillon_Pommerat_CiciOlsson_Soeurs_m.jpg" alt="" title="Cendrillon_Pommerat_CiciOlsson_Soeurs.jpg, janv. 2014" style="float: left; margin: 0 1em 1em 0;" /><img src="http://blog.ac-versailles.fr/optiontheatremontgeron/public/pommerat/cendrillon/.bal_m.jpg" alt="" title="bal.jpg, janv. 2014" style="float: right; margin: 0 0 1em 1em;" /></p>
<p>- <strong>Quelques citations dans la presse</strong> : </p>
<div class="page" title="Page 1">
<div class="layoutArea">
<div class="column">
<p><span style="font-size: 9.000000pt; font-family: 'Arial'">« </span><span style="font-size: 9.000000pt; font-family: 'Arial,Italic'">C’est tout en poésie, en humour et en nuance que cet auteur secoue, toujours très fort, le regard du
</span><span style="font-size: 9.000000pt; font-family: 'Arial,Italic'">spectateur. </span><span style="font-size: 9.000000pt; font-family: 'Arial'">Cendrillon </span><span style="font-size: 9.000000pt; font-family: 'Arial,Italic'">est un conte pour enfants, mais le specta</span><span style="font-size: 9.000000pt; font-family: 'Arial,Italic'">cle de Pommerat, est l’un des plus
beaux moments de théâtre à vivre, pour les adultes aussi...La distribution des rôles participe de cette
ouverture du sens et de l’imaginaire. Cinq acteurs aussi étonnants que convaincants font vivre sur scène
</span><span style="font-size: 9.000000pt; font-family: 'Arial,Italic'">neuf personnages... Ainsi Pommerat montre-t-</span><span style="font-size: 9.000000pt; font-family: 'Arial,Italic'">il le monde comme il est dans l’inconscient : immense et
</span><span style="font-size: 9.000000pt; font-family: 'Arial,Italic'">compliqué. Son spectacle, on le vit au moins autant qu'on le regarde, comme une expérience intense et
</span><span style="font-size: 9.000000pt; font-family: 'Arial,Italic'">troublante... </span><span style="font-size: 9.000000pt; font-family: 'Arial'">»
</span></p>
<p><span style="font-size: 9.000000pt; font-family: 'Arial'">LE MONDE </span><span style="font-size: 9.000000pt; font-family: 'Arial'">– </span><span style="font-size: 9.000000pt; font-family: 'Arial'">9 novembre 2011
</span></p>
<p><span style="font-size: 9.000000pt; font-family: 'Arial'">« Cendrillon </span><span style="font-size: 9.000000pt; font-family: 'Arial,Italic'">selon Joël Pommerat, c'est encore autre chose...Impressionnant, beau, envoûtant,
émouvant, très original, magistralement mené et merveilleusement interprété, le conte fascine et
bouleverse. Les enfants comme les adultes. On ne saurait décrire sans l'amoindrir ce spectacle.
Découvrez-le et nous, d'abord, louons les interprètes. Des comédiens que l'on ne connaît pas en France
et qui sont magnifiques, des acteurs francophones de Belgique qui ont impressionné profondément le
public. On ne dévoilera pas ici la malice de Joël Pommerat qui réécrit, littéralement, Cendrillon. Il est
d'une liberté et d'une fidélité époustouflante. A chaque pas, il nous étonne. Il nous saisit. Il invente mille
et une variations. ...D'un même geste, il puise au fond tragique de l'enfance : la peur, la solitude, les
cauchemars, les espérances, la perte d'une mère, tout cela il le met en scène d'une manière admirable.
Il montre le monde des adultes et le monde des enfants. C'est remarquable</span><span style="font-size: 9.000000pt; font-family: 'Arial,Italic'">... Courez... </span><span style="font-size: 9.000000pt; font-family: 'Arial,Italic'">Magnifique</span><span style="font-size: 9.000000pt; font-family: 'Arial'">»
</span></p>
<p><span style="font-size: 9.000000pt; font-family: 'Arial'">LE FIGARO </span><span style="font-size: 9.000000pt; font-family: 'Arial'">– </span><span style="font-size: 9.000000pt; font-family: 'Arial'">6 novembre 2011
</span></p>
<p><span style="font-size: 9.000000pt; font-family: 'Arial,Italic'">« CENDRIER, LA FORMIDABLE CENDRILLON DE POMMERAT<br />
Une pièce magique, à mettre sous les yeux de tous les frileux du théâtre. S'ils ne sont pas bluffés, c'est
qu'ils sont de mauvaise volonté »<br />
</span><span style="font-size: 9.000000pt; font-family: 'Arial'">Moustique </span><span style="font-size: 9.000000pt; font-family: 'Arial'">– </span><span style="font-size: 9.000000pt; font-family: 'Arial'">A.N., Mardi 25 octobre 2011
</span></p>
<p><span style="font-size: 9.000000pt; font-family: 'Arial,Italic'">« Pur délice que cette mise en scène épurée de Joël Pommerat où clarté et imagination font rarement si
bon ménage. Option transparence et jeux de miroirs, la scénographie et les lumières signées Éric Soyer
sculptent l'espace et enveloppent les scènes de ce qu'il faut de féerie et de mystère. La </span><span style="font-size: 9.000000pt; font-family: 'Arial'">Cendrillon </span><span style="font-size: 9.000000pt; font-family: 'Arial,Italic'">de
Joël Pommerat déménage sec et c'est une merveille du genre »
</span></p>
<p><span style="font-size: 9.000000pt; font-family: 'Arial'">Entre les lignes </span><span style="font-size: 9.000000pt; font-family: 'Arial'">– </span><span style="font-size: 9.000000pt; font-family: 'Arial'">Lucie Van de Walle, 17 octobre 2011 </span></p>
<p><span style="font-size: 9.000000pt; font-family: 'Arial'"><img src="http://blog.ac-versailles.fr/optiontheatremontgeron/public/pommerat/cendrillon/th_b_jpommerat_cendrillon-_ciciolsson_4_ll80jpg-326x235.jpg" alt="" title="th_b_jpommerat_cendrillon-_ciciolsson_4_ll80jpg-326x235.jpg, janv. 2014" style="margin: 0 auto; display: block;" /><br /></span></p>
</div>
</div>
</div>