FaÏz A.

 

Poème en prose

               

J'aperçus devant moi au coin de la rue assis par terre

  Ces veuves pauvres au regard solitaire. Elles avaient l'air jeunes.

Elles étaient surtout marquées par la fatigue et leur désespoir .

Ces femmes avec leurs enfants qui n'arrivent point à marcher sous cette pluie déferlante,

attendent des jours meilleurs.

 

 

 

 

 

              

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