"L'autre est allé vers un groupe qui jouait aux dés l'or futur des Indes ."
01 octobre 2018
Mina Agbassé billet #2 c: 5e4
Par Crochart MR (college Agiot, Elancourt) le 01 octobre 2018, 22:20
01 octobre 2018
Par Crochart MR (college Agiot, Elancourt) le 01 octobre 2018, 22:20
"L'autre est allé vers un groupe qui jouait aux dés l'or futur des Indes ."
Par Crochart MR (college Agiot, Elancourt) le 01 octobre 2018, 19:51
"Ils fallait aller chercher des voleurs,des assassins,des mécréants pour hisser la voilure?"
Au début je n'aimait pas trop le livre mais quand on approfondit la lecture sa devient de plus ne plus passionnant
Par Crochart MR (college Agiot, Elancourt) le 01 octobre 2018, 18:51
Je suis à la page 34 et à la phrase suivant :
"Qu'importaient la direction à prendre , le but de la sortie puisqu'il fallait s'agiter , courir les ruelles brûlantes dont l'air marin ne parvenait pas à adoucir l'haleine ".
je commence à mieux conpremdre et à aimer. J'ai surtout aimer la rencontre de Pedro Alvarez et de Christophe Colomb .
mais je trouve qu'il y a beaucoup de mots très compliqué pour notre âge comme par exemple de la page 10 :
" Terre retrouvée après des siècles d'occupation maure, mais aussi terre à jamais marquée par les architectes de l'éphémère dont on conserverait pourtant les arabesques de plâtre et les lacis façonnés dans le bois de cèdre , par les sorciers des torrents maîtrisés pour faire chanter les fontaines ,par les seigneurs des arbres et des fleurs capables de recréer en ce bas monde l'ineffable beauté des jardins d'Allah ."
J'ai rien du tous compris cette extrait. Il est trop dur à comprendre
Mais si non le lire à l'air bien
Par Crochart MR (college Agiot, Elancourt) le 01 octobre 2018, 18:43
Chapitre 7 page 147
phrase : " La grève s'offrait à la vue, mais se défendait encore à grand renfort de vagues. "
Par Crochart MR (college Agiot, Elancourt) le 01 octobre 2018, 18:27
La dernière ligne que j'ai lu est: "Parce qu'il avait quatorze ans et que l'or ne représentait pas pour lui une nécessité première, Chinito oublia les faste supposés de Cipango et s'émerveilla de ce qui l'entourait."(page 159).
Le livre est compliqué à comprendre même si je relie le texte plusieurs fois.
Je n'aime pas trop ce livre car les moussaillon ne sont pas motivés mais j'ai bien aimer quand ils arrivent sur l'île.
Par Crochart MR (college Agiot, Elancourt) le 01 octobre 2018, 18:14
Dernière phrase :
La branche était seule, légère comme un signe qui aussitôt disparaît, lourde comme un mauvais présage. PAGE: 80
Je trouve cette phrase très jolie , elle me paraît poétique .
Plus je lit plus je commence à rentrer dans l histoire . Mais je n ' aime pas trop ce style d histoire .
Par Crochart MR (college Agiot, Elancourt) le 01 octobre 2018, 18:13
Le livre commence a être intéressant même si il est encore un peu compliqué. La dernière phrase que j'ai lu est page 48 : "Comment fallait il interpréter cette manœuvre de Pinzón?".
Par Crochart MR (college Agiot, Elancourt) le 01 octobre 2018, 17:41
Chinito, seul dans un coin, à genoux sur les dalles, laissa échapper un gros soupir.
Par Crochart MR (college Agiot, Elancourt) le 01 octobre 2018, 17:21
''Il ouvrit les yeux.''
J'ai beaucoup de mal avec se livre car les chapitres sont très long , et , il y a beaucoup de mot compliquer à comprendre.
Je n'aime pas trop se livre aussi car je n'arrive jamais à savoir qui parle!!!
J'ai bien aimée le moment ou l'Espagnol est arrivé.
Par Crochart MR (college Agiot, Elancourt) le 01 octobre 2018, 16:22
J'aime beaucoup le prénom Chinito .
« billets précédents - page 6 de 12 - billets suivants »