23 septembre 2018
Par Crochart MR (college Agiot, Elancourt) le 23 septembre 2018, 10:16
Le prologue est trop dur à comprendre et le début de l'histoire aussi .
J'ai commencé à comprendre l'histoire au alentours de la page 10 .
La dernière fois que j'ai lu je me suis arrêtée à la page 20 et à la phrase suivante :
L'envie de se remettre entre les mains de quelqu'un poussa Pedro à retrouver des attitudes d'enfant .
22 septembre 2018
Par Crochart MR (college Agiot, Elancourt) le 22 septembre 2018, 20:36
Les bonnes mules trotteraient leurs deux heures sans que l'on eût besoin de faire claquer le fouet.
Par Crochart MR (college Agiot, Elancourt) le 22 septembre 2018, 13:32
Chinito,seul dans un coin,a genoux sur les dalles,laissa échapper un gros soupir .
J'ai pas aimé parcque je comprend rien et les chapitre sont trop long !!!!!!!!
Par Crochart MR (college Agiot, Elancourt) le 22 septembre 2018, 11:36
page 84:"il y a une terre sûrement "
J'ai trouvé que les deux premiers chapitres sont plus simples car il raconte L enfance de Pedro Alvarez jusqu'à sa rencontre avec Christophe Colomb .
Je trouve le chapitre quatre plus dur car ils sont sur un bateau à la recherche des Indes et je trouve ça long .
20 septembre 2018
Par Crochart MR (college Agiot, Elancourt) le 20 septembre 2018, 19:47
Chinito seul dans un coin a genoux sur les dalles laissa echapper un gros soupir
J ai pas aimé
le premier chapitre car j ai pas compris mais le deuxieme chapitre j ai bien aimé
Par Crochart MR (college Agiot, Elancourt) le 20 septembre 2018, 17:48
19 septembre 2018
Par Crochart MR (college Agiot, Elancourt) le 19 septembre 2018, 10:19
J'ai aimé la rencontre entre les deux héros.
18 septembre 2018
Par Crochart MR (college Agiot, Elancourt) le 18 septembre 2018, 14:03
Le prologue est compliqué!
11 septembre 2018
Par Crochart MR (college Agiot, Elancourt) le 11 septembre 2018, 17:24
13 mai 2016
Par Crochart MR (college Agiot, Elancourt) le 13 mai 2016, 14:52
Fruits tombez, l'herbe est mouillée ;
Aux beaux jours de l'année,
Gentils oiseaux, venez à ma fenêtre,
Où donc est le printemps ? Endormi sous la nue
Viens, charmante saison, jeunesse de l'année,
Tu possèdes mon adorée
L'espoir divin de la lumière
Fuis la honte et l'horreur de vieillir les mains vides.
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