les mots à la bouche: la poésie!

Lagouge et jouvancy

Voici l'heure où le pré, les arbres et les fleurs

Dans l'air dolent et doux soupirent leur odeurs

Berce des fleurs aux noms latins.

Les baies du lierre obscur où l'ombre se recueille

Dans les jardins, sous les ombrages

Sentant venir le soir se couchent dans leurs feuilles,

Moi j'errais tout seul, promenant ma plaie

Au long de l'étang, parmi la saulaie

Et si de mon chagrin incertaine

vous ne pouvez pas l'être au moins de mon amour

l'oiseau volette et le nuage

Avec le soir change de teint.

Et comme elle, penché sur l'horizon, mon cœur

S'emplit d'ombre, de paix, de rêve et de fraîcheur...

bleu = le jardin de la maison

rouge = poeme jardinier

vert = promenade sentimentale

violet = promenade au jardin des plantes

Lagouge et jouvancy

Voici l'heure où le pré, les arbres et les fleurs

Dans l'air dolent et doux soupirent leur odeurs

Berce des fleurs aux noms latins.

Les baies du lierre obscur où l'ombre se recueille

Dans les jardins, sous les ombrages

Sentant venir le soir se couchent dans leurs feuilles,

Moi j'errais tout seul, promenant ma plaie

Au long de l'étang, parmi la saulaie

Et si de mon chagrin incertaine

vous ne pouvez pas l'être au moins de mon amour

l'oiseau volette et le nuage

Avec le soir change de teint.

Et comme elle, penché sur l'horizon, mon cœur

S'emplit d'ombre, de paix, de rêve et de fraîcheur...

bleu = le jardin de la maison

rouge = poeme jardinier

vert = promenade sentimentale

violet = promenade au jardin des plantes

C'est l'heure exquise matinale

Dans les jardins, sous les ombrages

Et le vent berçait les nénuphars blêmes ;

La nature, et, dans l’air tout rose,

Le couchant dardait ses rayons suprêmes

Et les parfums sont des sauvages,

Dans l'air dolent et doux soupirent leurs odeurs.

Berce des fleurs aux noms latins.

Le jet d'eau du jardin, qui monte et redescend, 

On croirait qu’il neige de l’or

Clément RABINEAU

Solène ESTEVE

violet=matin d'octobre

vert= le jardin et la maison

orange= poème jardinier

rose= promenade sentimentale

C'est l'heure exquise matinale

Dans les jardins, sous les ombrages

Et le vent berçait les nénuphars blêmes ;

La nature, et, dans l’air tout rose,

Le couchant dardait ses rayons suprêmes

Et les parfums sont des sauvages,

Dans l'air dolent et doux soupirent leurs odeurs.

Berce des fleurs aux noms latins.

Le jet d'eau du jardin, qui monte et redescend, 

On croirait qu’il neige de l’or

Clément RABINEAU

Solène ESTEVE

violet=matin d'octobre

vert= le jardin et la maison

orange= poème jardinier

rose= promenade sentimentale

Dernière phrase lue: "Un cri désespéré qui n'obtenait pas de réponse (p204)".

Ce livre ne m'a pas passionné. Les cent premières pages parlent presque que de navigation et l'histoire n'avance pas mais je comprends le choix de l'auteur car il voulait montrer que les conditions de vie sur le bateau étaient compliqué. Après la page 100 jusqu'à la page 150, il se passe plein de choses : ils trouvent la terre, ils font des rencontres mais après de longs efforts ne trouvent pas d'or. Après la page 150, il y a de nouveau des répétitions car ils passent d'ile en ile sans rien trouver. Je suis pressé de finir le livre pour savoir comment il se termine. J'espère que la fin sera mieux que le reste du livre qui m'a assez déçu.

"Il ferma les yeux."

Epilogue : " Christophe Colomb prend la route du retour à bord de la Nina et accoste à Palos le 15 mars 1493 ".