Un clic, un clac, et la lumière fut

Une source d’éclat d’un blanc d’ivoire

Guidant mes pas, mes mouvements et ma vue

Sans jamais me laisser sans au revoir

 

Elle est là, suspendue en l’air, arrête par le temps

Comme un ange, un dieu veillant sur le moi, enfant

Elle chasse l’ombre de mes cauchemars

Et les transforme en les rêves les plus rares

 

Un pouvoir vif, rapide et invisible

Il traverse m’impossible

Tel un funambule dansant sur un fil

 

Mais viendra l’heure silencieuse et docile

Où tout s’arrête, tout prend fin

Clac, la lumière s’éteint 


Simeth