​"Voici les oiseaux morts qui rient au fil des heures

Incarnant douceur aigre et un navrant malheur.

Émotions portées par les fades amertumes;

La mélancolie d’ouvrages entr’ouverts je hume.

 

Écouter la brise qui dort me berce dans

Mon sommeil sans silence. Des rêves dorés, j’en

Demande des milliers; regarde leur sillage!

Des reflets rouges et ocre me crient au visage."

Isaya