Espion pour cible

Chapitre 1 : Entrée au MI6.






C'était un vendredi un jour comme les autres. A la fin des cours j'avais oublié mon livre préféré dans une des salles du collège ; je voulus absolument le récupérer alors j'allais en cachette au collège. Je n'avais pas vu l'heure car je n'avais pas ma montre. Arrivé au portail je vis la porte ouverte en grand : cela n'était pas normal. Je ressentis un léger frisson avant d'entrer puis je passais la seconde porte. Je tremblais de plus en plus, un grand froid me parcourut de la tête aux pieds. Je montais les escaliers lorsque la porte qui donnait sur les marches se referma brutalement et j'entendis un cliquetis qui montrait que j'étais enfermé : j'étais prisonnier dans le bâtiment. Je continuais  dans le couloir. J’étais enfin arrivé devant des portes. Je commençai à les ouvrir : la première me montrai une prairie, la deuxième dévoila la tour Eiffel, la troisième s'ouvrait au-dessus d'un volcan en fusion, la quatrième me  proposait de voyager au milieu d'un désert, et  la cinquième, la dernière, donnait sur plein d'écrans d'ordinateur. J’étais étonné de leur nombre alors je pénétrais à l'intérieur de la pièce et la porte se referma,  comme  celle des escaliers, avec le cliquetis. J'eus peur, je voulus sortir,mais j'étais bloqué. Alors je criais de toutes mes forces pour que quelqu'un m'entende ; puis une voix me parla. 

Je reconnus celle-ci : c'était celle de M du SIS dans James Bond : cela était étrange .Elle me dit que je devais m'infiltrer dans une usine suspecte où on pensait qu'il pouvait y avoir les meilleurs informaticiens prisonniers. Ces derniers devaient détruire avec des rayons IEM des satellites dont celui du MI6 ce qui pouvait rendre l'agence vulnérable. J'étais obligé de ne rien dire à qui que ce soit. Les ordinateurs commandèrent des robots puis s'occupèrent de moi et je fus immédiatement armé du P99 ; on me mit un gilet par balle et on me donna un portable des plus fins et des plus résistants qui pouvait se connecter à tous les ordinateurs sans se faire repérer. Avec, je devais détruire tous les pare feux des serveurs de l'ennemi et je pouvais aussi ouvrir les portes à fermeture électronique ou encore craquer les codes des ordinateurs de l'ennemi ,mais cela à courte distance. 

Alors M m'envoya dans un avion. A l'arrivée je devais sauter en parachute et rentrer dans la  base ennemie. Je devais utiliser, si besoin, des fléchettes anesthésiantes pour éviter, si possible de tuer. 


Une fois entré dans les lieux je devais découvrir leur intention et des preuves pour les envoyer en justice. Mais avant cela je devais apprendre l'utilisation des gadgets avec le professeur Q celui qui les avait crées. A l’aéroport j’entendis l'hôtesse d'accueil dire à tous les passager qu'il n'y avait plus de place dans l'avion où je devais voyager et moi, comme par hasard, ils me laissèrent passer. 

Je m'installais dans l'avion. Soudain je reconnus des bandits que j'avais vus dans les journaux. Ils m'attaquèrent brusquement, je me défendis. Le copilote tua le pilote par accident à cause du ricochet d'un tir de son arme à feu. L’avion commença à perdre de l’altitude, prêt à s’écraser. J’essayais de reprendre les commandes mais une balle avait touché le tableau de bord alors je pris le parachute en vitesse et me lançais. A l’arrivée sur la terre ferme, des gens m’arrêtèrent. J’étais prisonnier et je vis l’avion s’écraser et faire un éclair de lumière; des morceaux de métal foncèrent sur moi et faillirent me blesser mais les kidnappeurs ne me lâchèrent pas, ils m’emmenèrent dans leur base. Ils prirent mes armes mais ne virent pas le téléphone portable qui était caché dans une des poches de mon habit. Ils m'enfermèrent dans une cellule. 


Une fois seul, j’appelais avec le  téléphone comme Q me l'avait expliqué. -Bond au MI6. Ils me répondirent: « l'agence va vous envoyer les plans de la base pour vous enfuir et découvrir leurs intentions ». 

Mes ravisseurs m'apportèrent à manger sur un plateau : il y avait du pain, de la banane et du ketchup. Je pris le sachet de ketchup et le mis de côté pour en avoir plusieurs pour pouvoir établir un plan dès que j'en aurais assez. Quand ce fut le cas mis mon plan à exécution dès qu'ils arrivèrent pour me donner le plateau habituel. J 'ouvris tous les sachets, je les versais par terre et me mis dedans .Cela leur fit croire que j'étais mort et qu'ils pouvaient être punis par leur BOSS de n'avoir pas fait attention à moi au moins avant l'interrogatoire .Quand les gardes entrèrent, je les assommais. Je m'enfuis discrètement. 

J' appelais le MI6 pour qu'il m 'indique le nouvel objectif. Je le reçus et le lus : « Bond vous devez intercepter la mallette de Zukovsky , elle contient des informations des plus importantes. Quand vous  l'aurez vous vous enfuirez discrètement et la rapporterez. MESSAGE TERMINE ».

Je me mis au travail et pris mon téléphone pour regarder les plans et détecter les ennemis proches. Je me baissais et me faufilais dans les conduits d'aération. Arrivé, au dessus du bureau de Zukovsky je vis qu'il se reposait alors je pris son arme et je l’assommais. Je dérobais la mallette et soudain il se leva et m'attaqua. Je me défendis, je lui mis des coups et aperçus que cela ne lui faisait  pas grand chose. Je vis mon pistolet anesthésiant posé sur une table avec les autres objets que j'avais à l'arrivée dans la base. Je le pris et tirais une fléchette sur l'agresseur ; cela ne suffisait pas alors j'en tirai une autre. Il tomba par terre, endormi. Je partis mais les autres remarquèrent que le Boss était endormi. Ils me cherchèrent et me trouvèrent alors je me défendis en tirant d'autres fléchettes. Arrivé hors de la base je repris l'avion qui me ramena là où j'avais été enlevé. M me dit que la mission était enfin terminée et je vis la porte de l'école ouverte. Je la franchis et me trouvai en classe le lendemain avec mes camarades qui me dirent que j'étais en retard. Le professeur me donna le livre que j'avais oublié et je la remerciais. Je racontais l'histoire à mes copains mais ils ne me crurent pas alors je décidais de la garder pour moi. Les vrais héros n'ont pas besoin de la célébrité.


Clément 5ème 2012