Niveaux A1 et A2: Cartes mentales


Le niveau A2

Qu’est-ce que le niveau A2 ?
Le niveau A2 s’inscrit dans une démarche Européenne : le CECRL (Cadre Européen Commun de Référence pour les Langues). Ce cadre international est le fruit de plusieurs années de recherche linguistique des experts des états membres du conseil de l’Europe. Ce CECRL définit six seuils qui correspondent à des niveaux plus ou moins avancés dans une langue étrangère :


A1 : niveau découverte

A2 : niveau usuel

B1 : niveau seuil

B2 : niveau indépendant

C1 : niveau autonome

C2 : maitrise de la langue


Le niveau A1 correspond à ce qu’un élève est censé connaître à la fin de l’année de 6è, après plusieurs années d’exploration de la langue à l’école primaire.
Le niveau A2 est désormais indispensable pour obtenir le DNB (Diplôme National du Brevet) en fin de 3ème. C’est un niveau intermédiaire, dit "de survie"... donc de quoi se débrouiller dans un pays étranger. Le niveau A2 correspond au niveau normalement atteint par un élève en fin de 5ème en anglais et de 3ème en espagnol.

Que faut-il valider pour obtenir le niveau A2 ? 
Le tableau ci-dessous synthétise les capacités et les connaissances que les élèves doivent maîtriser dans les cinq activités langagières.
Bonne lecture, et n’hésitez pas à contacter un professeur de langues si vous avez des questions !

Gaturro - No te olvides de..

Estas vacas no te olvides de:

Ces vacances n'oublie pas de:

Para aprender a pronunciar

Mapas interactivos de América Latina


Le site Juegos de Geografía propose des jeux pour apprendre et tester ses connaissances de géographie latino-américaine: des cartes interactives, des mises en relation, des soupes de lettres et des mots croisés:

 
                                     

Ces cartes interactives te permettront d'apprendre le noms des pays et des capitales latino-américaines (Bouton "MIRAR ESTUDIAR"), mais aussi de tester tes connaissances (Bouton "JUGAR PRACTICAR").

A descubrir América Latina..

Mapa interactivo sobre los países de América del Sur:

Mapa interactivo sobre las capitales de América del Sur:

Para ir más allá..

Ce jeu te permettra d'aller plus loin en abordant les cultures latino-américaines:

La Tomatina de Buñol

La Tomatina est une fête célébrée le dernier mercredi du mois d'août de chaque année, à Buñolprovince de Valence, en Espagne. Des milliers de participants viennent de chaque coin de la planète pour cette festivité de la bataille des tomates. La bataille est le point culminant d'un festival d'une semaine célébrant le saint patron (Saint Lluis Bertran) du village.

HISTOIRE

Tout a commencé en 1945, quand les jeunes de l'époque se rencontraient sur la place du village (Buñol), où l'on fête la Tomatina, au passage des autorités du village, la bande musicale, et les « Géants », un groupe de ces jeunes qui voulait participer, avait provoqué une bousculade. Un des participants tomba, et, révolté, a frappé tout ce qui était devant lui, ce qui a fait que tout le monde a commencé à se battre.

Le destin a voulu que, tout près, il y ait un petit commerce de légumes, les jeunes n'ont pas hésité à utiliser les bonnes tomates ! Par contre, ils ont dû payer les dégâts ensuite.

Cette « bataille » n'a pas été oubliée, un an après, le même mercredi du mois d'août, les jeunes se retrouvent encore une fois sur la place, mais, cette fois, ils amènent leurs propres tomates, ainsi avait commencé la deuxième bataille des tomates, qui a été dissoute par la police.

Les autorités du village se sont toujours opposées à cette célébration connue comme « la journée de la Tomatina », mais, sous une forme ou une autre, la festivité a eu lieu. Le conseil municipal de Buñol a décidé, après une période d'interdiction de 7 ans, d'autoriser la gigantesque bataille de tomates dans les années 1970 pour stimuler le tourisme.

LES REGLES

  • Alors, les participant doivent se protéger les yeux.
  • Les bouteilles sont interdites ainsi que tout objet pouvant provoquer un accident.
  • Il est interdit de déchirer les tee-shirts.
  • Les tomates doivent être écrasées avant d'être lancées !
  • Attention au passage des camions (qui déversent des tonnes de tomates abimées qui ne peuvent pas être proposées à la vente).
  • À la deuxième détonation, on arrête la bataille.
  • Source: https://fr.wikipedia.org/wiki/Tomatina

SITE OFFICIEL DE LA TOMATINA:


Descenso del Sella

Lire la suite...

Pachamama, tierra madre

Le mois d'août est le mois consacré à la Pachamama; c'est à ce moment là qu'il faut lui faire des offrandes pour l'année qui vient afin de s'attirer sa protection et l'honorer afin qu'elle ne se venge pas.

La Pachamama est la plus importante divinité des peuples andins car, en plus d'offrir sa protection, elle représente la fertilité, l'abondance, la féminité, la générosité, le rendement des cultures, etc., des qualités extrêmement importantes dans les sociétés traditionnelles directement dépendantes de la terre.

Le terme Pachamama peut se traduire par "Terre mère", pacha signifiant en aymara et quechua terre, cosmos, temps et espace, et mamamère.  La Pachamama est une déesse sans temple, elle s'honore en tous lieux, de préférence sur le sommet d'une montagne ou dans la nature; elle est son propre temple.

Aujourd'hui, une grande partie de la population bolivienne, et toute la population rurale de ce grand pays, est indigène et vit encore de manière traditionnelle. Autant les coutumes que les croyances préhispaniques et même pré-inca restent présentes dans la société moderne.

Encore aujourd'hui, par exemple, vous pourrez aller à La Paz, dans la calle de las brujas (rue des sorcières), acheter tous les biens nécessaires pour faire une table d'offrande à la Pachamama. Vous pourrez aussi y contracter un yatiri (prêtre, sage aymara) afin qu'il réalise le rituel qui consiste à faire des prières, arroser d'alcool l'offrande et enfin la bruler pour gratifier la déesse mère.

Ces croyances pré-incas, ont subit des modifications indispensables à leur survie lors de la colonisation. C'est entre autres grâce à un processus de synchrétisation avec la foi chrétienne qu'elles ont persisté jusqu'à nos jours.

Par exemple, dans certaines cérémonies on adore la Pachamama à travers la vierge Marie. Cette symbiose peut se voir clairement dans l'imagerie de la "Vierge de la montagne" où l'on peut apprécier la Terre mère, représentée par une montagne tout étant la robe de la vierge Marie.

Les pratiquants vénèrent la Pachamama à travers des offrandes et des rituels tels que la Challa ou bénédiction païenne. 

De la même manière, il est très fréquent que la première gorgée de bière ou d'alcool soit versée sur le sol afin d'honorer et de remercier la Pachamama.

Dans la culture aymara, une des offrandes la plus commune pour la Pachamama est le foetus de lama, qui est enterré sous les travaux d'une construction ou dans les champs pour s'attirer la bonne fortune et le bien être et éloigner les mauvais esprits.

Le saviez-vous?

Anciennement on enterrait vivant un être humain en sacrifice à la terre afin que la Pachamama accepte la nouvelle construction et la fasse perdurer dans le temps. Cette pratique bien qu'interdite aujourd'hui est encore pratiquée dans les milieux populaires et bien sûr en cachette. On raconte par exemple que dans le mega center récemment construit à la Paz, les gardiens de nuit rencontrent souvent le fantôme d'une petite fille. Celle-ci aurait été enterrée sous le bâtiment et son âme serait condamnée à veiller sur le centre commercial.

 

Dans la culture andine, la Pachamama est la déesse protectrice de tous les biens matériels et, en même temps, elle domine l'univers spirituel. C'est pour cette raison qu'elle symbolise l'environnement de l'être humain dans sa totalité. Par conséquent, ceux qui croient en elle doivent maintenir une relation d'équilibre et de réciprocité avec elle. C'est une déesse mère qui peut être généreuse mais aussi terriblement dangereuse.

Sourcehttp://info.artisanat-bolivie.com/Pachamama-la-deesse-terre-mere-a346-sm116

La Guelaguetza de Oaxaca en México

Source: http://www.planet-mexico.com/fete-guelaguetza/

Los Sanfermines de Pamplona

Les Fêtes de San Fermín, ou Sanfermines (en basque Sanferminak, Fêtes de Saint Firmin, en français), sont les fêtes célébrées annuellement du 6 au 14 juillet, à Pampelune, capitale de la Navarre (Espagne), en honneur du saint patron de la communauté forale, saint Firmin. Il est de coutume de considérer ces fêtes comme les troisièmes du monde, en nombre de participants, après le Carnaval de Rio et la Fête de la bière à Munich. On estime à 3 millions le nombre de personnes qui peuplent les rues de la ville pendant neuf jours.

Ces fêtes multicolores transforment littéralement le visage de la capitale navarraise, qui devient le théâtre d'un spectacle populaire mêlant le profane au sacré. À cette occasion, les habitants revêtent la tenue blanche, rehaussée d'un foulard et d'une ceinture rouge.

Elle a lieu le 7 juillet à 10 heures. Depuis l’église de San Lorenzo, les autorités civiles et religieuses, les responsables des Peñas et des corporations, ainsi que d’autres personnalités de la ville accompagnent la statue du Saint à travers les rues de la cité. Le cortège est animé par la Banda municipale, La Pamplonesa, les Géants, les txistularis, les gaiteros et des danseurs. Des milliers de Pamplonais et de navarrais se placent le long du parcours pour saluer la sainte effigie. Au niveau de l’église de San Saturnino, un groupe de joteros entame la Jota a San Fermín, en l’honneur du saint patron navarrais, qui retourne à l’église de San Lorenzo, où des milliers de personnes viennent se recueillir durant les Fêtes.

Le 14 juillet, dernier jour de fête, la même procession aura lieu pour saluer une dernière fois le saint. Cette procession s’appelle La Octava (la huitième).

Source (Cliquez pour en savoir plus): https://fr.wikipedia.org/wiki/Fêtes_de_San_Ferm%C3%ADn

JUEGO DE LA SAN FERMIN

Capture_d_ecran_2015-07-27_a_15.20.55.png